Tiffany WILLM

Tiffany WILLM

Passionnée par l'immobilier et chargée de communication depuis des années

Le 25 mai, date de l’assassinat de Georges Floyd aux États-Unis, a été une date charnière pour le monde occidental, depuis, un abcès a été crevé. Le racisme sévit toujours au sein de nos sociétés, et ce, à plusieurs niveaux. Suite à ces événements de nombreuses manifestations, « Black Lives Matters » ont éclaté, outre-atlantique, puis en Europe. L’opinion scandalisée, a éveillé de vifs débats opposants toutes sortes d'opinions. Ce à quoi, le ministre de la ville et du logement, Julien Denormandie a réagi, en annonçant l’étude d’un décret, cherchant à diminuer la discrimination au logement.

Celui-ci viserait à, obliger les agences immobilières à suivre une formation contre les discriminations au logement, réitérée tous les trois ans. Cette initiative pourrait s’accompagner de « testing » par lesquels de faux dossiers seraient communiqués aux agences afin de dissocier discrimination et logement.

Discriminations et logement, un problème de fond trop souvent pointé du doigt

Dans une enquête de 2017, SOS Racisme, publiait des chiffres édifiants rapprochant discrimination et immobilier. Utilisant la méthode du « testing » préconisé par le ministre actuel, le constat était simple.

Un Français arborant un patronyme à consonance étrangère, est fortement plus exposé aux discriminations au logement. 15% de chances en moins, pour un individu d’origine asiatique, et 28% à 38% pour des individus, respectivement d’origines maghrébines et africaines. Cette étude a utilisé des profils aux situations financières comparables afin d’obtenir des résultats efficients.

Les agences sont incriminées par ces discriminations à la location, 68 % des biens proposés y seraient sujets. Cependant, et sans pour autant minimiser ces chiffres, on retrouve plus grandement encore cette question avec les particuliers. Pour lesquels ce serait 87 % des biens qui seraient concernés.
Des plateformes indépendantes comme « Leboncoin » assure avoir mis en place un système de signalement, ainsi qu’une politique de prévention. Cependant, esseulés, il demeure pour eux difficile de combattre cette injustice. Le décret proposé par le ministre Julien Denormandie se présente donc comme un élément de réponse à cette problématique.

Utilisation potentielle des statistiques ethniques afin de dissocier discrimination et logement

Utilisées aux États-Unis et souvent controversés, le gouvernement, par l’intermédiaire de Sibeth N’Diaye, remet dans le débat public l’utilisation des statistiques ethniques. Celles-ci pourraient apporter un plus dans la lutte contre les discriminations logement évoquées. Un outil précis, qui néanmoins suscite la réticence, pouvant être stigmatisant, ce à quoi Julien Denormandie préfère des statistiques relevant du lieu d’habitation. Cependant celles-ci, relèvent bien souvent du pouvoir d’achat de l’individu ce qui peut, selon d’autres sensibilités l’être tout autant.

Discrimination et location appartement, quelles répercussions concrètes ce décret peut-il offrir ?

Il est encore difficile, de spéculer avec justesse de sa répercussion sur les discriminations à la location et au logement en général. Le sujet, pourtant majeur, reste difficilement observable dans l’absolu. Dans quelle mesure une simple formation est en mesure d’endiguer un phénomène comme celui-ci ? L’anonymat pourrait présenter une réponse plus forte et plus concrète, qui annihilerait toute intention de discriminer. Volonté qui, est incontestablement présente dans l’Hexagone, au vue des chiffres, surtout chez les particuliers, eux-mêmes clients potentiels des agences immobilières. L’agence a pour intérêt premier de satisfaire celui de ses clients, sans pour autant céder aux requêtes contradictoires à l’universalisme fondateur de notre République.

Il n’est pas sans rappeler que les sanctions relatives à des pratiques discriminantes, exposent l’auteur à une peine pouvant aller jusqu’à 3 ans de prison et 45 000 € d’amende.

Cependant, c’est en profondeur qu’un changement doit opérer, dans le monde de l’immobilier entre autre. Il semble important pour assurer une paix sociale, une justice sociale. Celle-ci doit se manifester non pas sur l’abolition de « privilèges » mais sur l’accès aux mêmes droits pour tous. Les discriminations au logement, celles liées à la location dénigrent l’égalité, le mérite et la dignité des individus dans notre pays.

La superficie dont vous pouvez devenir propriétaire, pour 188 000€, varie (parfois du simple au nonuple -> x 9 ! ) selon l’endroit où vous achetez un bien. En terme de pouvoir d'achat immobilier, les Français sont donc loin d'être égaux en fonction de la région ou ville dans laquelle ils se trouvent. Des écarts allant jusqu'à 800% ont été observés par le portail immobilier Monbien.fr

A quoi correspond la somme de 188 000€ ?

188 000€, c'est le prix moyen d'un appartement en France, toutes régions confondues relevé par le portail d'annonces immobilières Monbien.fr.
Pour cette somme le nombre de m² qu'il vous sera possible d'acquérir varie du simple au triple en fonction de la région choisie. On relève 30m² en Ile de France et plus de 105m² dans le Limousin pour cette même dépense. Et si l'on compare deux grandes villes Françaises, Paris et Saint-Etienne, l'écart est plus de 9 fois supérieur !
39m² à Lyon = 163m² à Saint-Etienne = 63m1 à Strasbourg

D'après l'étude menée par le portail immobilier, un appartement de 39m² situé à Lyon correspond en terme de prix à un 63m² à Strasbourg ou un 163m² à Saint-Etienne...

Un écart pouvant aller jusqu'à 800% si l'on compare Paris à Saint-Etienne, ville ayant un prix au m² particulièrement abordable. (1161€ le m² contre plus de 10 000€ le m² dans la métropole parisienne).

Dans quelle ville peut-on avoir plus de 100m2 ?

Pour avoir une superficie intéressante avec un budget de 188 000€ il faudra se tourner vers des villes proposant des prix au m2 inférieurs à 1800€ comme le Havre où un 116m² peut vous être proposé, Saint-Etienne (163 m²) ou le Mans (139m²).

Tableau des villes et superficie à acquérir pour la somme de 188 000€

Voici un tableau récapitulatif qui exprime bien à quel point un logement peut être à superficie variable en fonction de la localisation choisie.

 

Avec l’été qui a débuté et la crise sanitaire dans laquelle nous nous trouvons toujours actuellement, plus d’un professionnel aura tendance à baisser les bras, démotivé par cette période si particulière à laquelle nous sommes confrontés. Mais les projets immobiliers des Français sont toujours d’actualité et il est temps de rattraper le temps perdu ces derniers mois. Voici quelques conseils pour relancer la machine et faire de vos conseillers immobiliers des prospecteurs de compétition !

Attribuez des secteurs

Si ce n’est pas encore le cas, vous devez impérativement clarifier la prospection de votre équipe en attribuant des secteurs bien définis à chaque prospecteur. Si certains sont lassés d’une zone géographique, n’hésitez pas à proposer un roulement même si le plus efficace sera toujours de privilégier la notoriété du négociateur sur son territoire dans la durée.
Avec un logiciel de pige avancé, vous pourrez facilement attribuer des secteurs à chacun et éviter qu’un même prospect soit courtisé par deux négociateurs différents de votre propre agence.
Vous éviterez ainsi les querelles et privilégierez l’efficacité : chaque négociateur aura accès aux annonces de son secteur, sans voir les annonces des autres secteurs.

Encourager son équipe

En cette période particulière, vous devez plus que jamais encourager votre équipe pour la stimuler : même en été, des dizaines de mandats sont à saisir et le confinement pourrait même avoir convaincu certains prospects !

Pour favoriser la prise de mandats, il vous faut maintenir au top la motivation de vos collaborateurs.
Cette fois ci vous ne pourrez peut être pas compter sur le traditionnel levier de la rémunération pour rebooster vos négociateurs mais votre soutien est primordial et plus que jamais nécessaire.
En réunion, n’hésitez pas à souligner les efforts faits par chacun, même quand des contrats ne sont pas conclus ou que des projets échouent.

Créez une routine

Pour assurer une rentrée de mandats régulière, vos négociateurs devront prospecter chaque jour ! Vous pourrez ainsi leur prévoir un créneau horaire spécifique, même s’ils fonctionnent en télétravail pour leur prospection ( D’ailleurs, vous trouverez ici un logiciel de pige parfaitement adapté au télétravail qui comptabilise le nombre de connexion effectué par chaque conseiller sur un temps défini).

Analysez les résultats obtenus avec bienveillance et écoute

Via votre propre session sur le logiciel de pige de l’agence, vous pourrez normalement analyser les résultats de chacun : nombre de rendez pris, nombre d’appels passés, ratio, etc.. Quel que soit le contexte, la bienveillance et l’écoute sont à privilégier. Si les résultats ne sont pas au rendez-vous, jouez votre rôle de manager en donnant quelques astuces à votre collaborateur, écoutez-le et élaborez ensemble une stratégie !

Enfin, voici une liste de quelques articles utiles pour vos conseillers. Les quelques astuces qui y sont délivrés permettront à vos conseillers de gagner en assurance et mieux gérer leur temps :
Mandat, cueillir les vendeurs lorsqu’ils sont mûrs
Comment doper votre prospection immobilière ?
Astuces pour gérer votre temps et rentrer des mandats

Combien de fois avez-vous déjà reporté à plus tard la digitalisation de vos outils de travail ? ou peut-être avez-vous entamé ce processus mais à moitié, sans grande conviction ? Voici donc un article avec chiffres et témoignages qui pourrait bien vous amené à revoir vos méthodes de travail pour gagner en efficacité et éviter une chute potentielle voire inévitable dans le cas où vous n'agiriez pas.

Les chiffres sont convaincants

88%, c’est la baisse des honoraires attendue par les Français vis-à-vis des professionnels de l’immobilier selon une étude de MeilleursAgents parue à la fin de l’année 2019.
Un chiffre tout aussi élevé est constaté concernant la transparence attendue vis-à-vis de la relation (83%) et le développement attendu de solutions digitales (75%) pour les aider à vendre à acheter et suivre le processus d’une transaction.
Ces chiffres convaincants nous montrent à quel point les pratiques des agents immobiliers n’évoluent pas au même rythme que les attentes des Français, qui attendent plus que jamais une évolution dans les solutions proposées par les agents immobiliers.

Une nécessité pour survivre ?

Peut-on continuer comme avant ? La réponse est non. Avec la crise sanitaire que nous vivons encore actuellement, des centaines d’agences immobilières sont fragilisées, doivent faire face à des choix douloureux et pourraient fermer leurs portes en quelques mois seulement. La raison ? Ne pas avoir revu leurs méthodes de travail et digitalisé leurs outils face à une concurrence plus innovante et prête à imaginer un futur à la hauteur des attentes des Français.
Nombreux sont les professionnels de l’immobilier réfractaires à la technologie, pensant que celle-ci fait passer l’humain au second plan. Et pourtant, les outils numériques proposés aux agents immobiliers en 2020 permettent au contraire de gagner du temps pour se concentrer sur le plus important : vos clients ! C’est une réelle demande et de nombreux professionnels ont réalisé les avantages apportés par ces solutions : la technologie est là et elle n’attend plus que vous !

Quelques témoignages

Ces quelques témoignages nous prouvent bien à quel point les nouvelles technologies sont bien accueillies par les clients immobiliers :

« Nos clients apprécient nos nouvelles méthodes, bien plus modernes car cela leur fait gagner du temps également, sans complexifier les démarches…bien au contraire, tout est simplifié.  Notre application de création de contrat et signature électronique fait désormais partie de notre quotidien ! » Ludovic Watier, directeur de Flor’Immo et utilisateur de Sinimo

« Durant le confinement, SINIMO a été vraiment indispensable, nous étions bien contents d’avoir cet outil en notre possession et de pouvoir proposer une solution à nos clients. Nous avons créé des mandats, des offres d’achat, des compromis…C’est simple et intuitif. Aujourd’hui nous ne pourrions plus nous en passer.. » Arnaud Legros, directeur de l'agence Maps Immobilier et également grand adepte de Sinimo

« Grâce à SINIMO nous avons signé une quinzaine de compromis à distance et plusieurs mandats. Nos clients apprécient la simplicité de ce processus et la dématérialisation de leurs contrats. » Dominique Sibile, D’Home Immo.

Des témoignages comme ceux-ci, il en existe des dizaines d’autres ! La vague de l’après est lancée et le marché immobilier a déjà entamé une profonde transformation. Des milliers de professionnels ont déjà pris cette vague pour optimiser leur efficacité et se concentrer sur l’essentiel : les clients, qui sont et resteront… rois ! Et vous, êtes-vous prêts à prendre la vague ? Vos clients attendent du changement, il ne vous reste plus qu'à anticiper la vague pour survivre et continuer à croître sur votre secteur. 

Après plusieurs semaines de confinement, le logement est plus que jamais au coeur des priorités des Français. En tant que professionnel de l'immobilier, vous devez impérativement connaître les zones où les prix de l'immobilier sont les plus intéressants. Voici donc le top 5 des grandes villes les plus abordables de France pour la location. Pour cette étude Monbien.fr, portail immobilier innovant (et gratuit !) a sélectionné des villes dont la population est supérieure à 140 000 habitants.

1. Saint Etienne : 9,46€ le m2 à la location

Attractive et conviviale, Saint-Etienne arrive en tête des grandes villes où les loyers sont les moins chers en France. A titre de comparaison, la ville de Paris propose des loyers plus de 3,7 fois plus élevé avec un prix au m2 moyen de 35,09€ pour un appartement, contre seulement 9,46€ le mètre carré au Mans. Si l'on se base sur la surface moyenne d'un appartement en France qui est de 48 m², le loyer d'un appartement dans l'agglomération stéphanoise est de 454€ !

2. Le Mans : 11,05€ le m2 à la location

Située dans le Pays de la Loire, Le Mans propose également des loyers très bas, de l'ordre de 11,05€ le mètre carré. Pour vivre dans un appartement de 48m2, il ne vous faudra débourser que 530€. Avec également une belle offre d'emplois, on peut donc dire que la Cité Plantagenêt fait les yeux doux aux locataires.

3. Le Havre : 12,26€ le m2 à la location

Le Havre monte sur la troisième marche du podium. Dans cette ville de 172 366 habitants, le budget logement d'un locataire se limite à 12,26€ le mètre carré. C'est une bonne nouvelle pour les locataires du Havre qui représentent 59% de la population. Un appartement à la location d'une surface moyenne de 48m2 coûte moins de 600€ à la location. (588€ exactement !).

4. Angers 13€ le m2 à la location

Considérée comme l'une des villes les plus attractives de France, la capitale du Maine et Loire fait partie des villes où la pression sur les loyers reste modérée : seulement 13€ le mètre carré à la location pour une demande qui est de plus en plus importante. La location mensuelle d'un appartement de surface moyenne est de 624€.

5. Reims : 13,54€ le m2 à la location

Dans le top 5 des villes analysées par Monbien.fr figure Reims, ville aux multiples visages située à seulement 45min en TGV de Paris. Si un candidat à la location jette son dévolu sur cette ville d'effervescense, son loyer ne dépassera pas en moyenne les 13, 54€ le mètre carré soit 2,6 fois moins qu'à Paris. Un appartement d'environ 48m² est en moyenne proposé à moins de 650€ le mois bien que l'état du bien immobilier et ses aménagement impacte le prix à la location.

La pige immobilière est un exercice redouté par la plupart des professionnels de l'immobilier. Mais elle est pourtant un passage quasi obligé si vous souhaitez rentrer des mandats et poursuivre votre ascension sur le marché. Une pige immobilière bien maîtrisée est toujours très efficace ! Voici donc les 5 erreurs à ne surtout pas commettre lors de votre pige téléphonique.

1. Ne pas s'adapter à son interlocuteur

Pour réussir votre entretien téléphonique, veillez à toujours adapter votre ton de voix et votre débit à celui de votre interlocuteur. S'il est plutôt rapide, ou plutôt lent, adaptez-vous à lui. Cette technique permet dès le départ d'avoir une meilleure relation avec son interlocuteur et d'éviter de se faire raccrocher au nez !

2. Berner son prospect

Votre interlocuteur doit comprendre très vite qui vous êtes et pourquoi vous appelez.

Ne le laissez pas croire au fait que vous êtes un particulier. Un propriétaire se sentant mené en bateau vous enverra encore plus rapidement balader ! Soyez transparent et honnête en expliquant précisément le but de votre appel. Si vous avez l'habitude de poser des questions sur la localisation du bien avant de vous présenter, sachez que ces questions sont bien souvent inutiles. Avec un bon logiciel de pige, vous connaissez déjà l'emplacement exact du bien !

3. On improvise pas !

Pour réussir sa pige, il est déconseillé d'improviser. Votre entretien doit être fluide et suivre un certain cheminement, sans accro.

Avant de passer un appel, renseignez-vous un maximum sur le bien à l'aide de votre logiciel de pige qui synthétisera les informations trouvées sur des dizaines de sites pour ce même bien !

Vous devez bien visualisez le bien et connaître ses différentes caractéristiques. Une bonne préparation amont mettra votre professionnalisme en avant.
Présentez votre agence avec assurance et en expliquant bien sa valeur ajoutée. Une présentation banale n'aura que peu d'intérêt. Vous n'êtes certainement pas le seul professionnel de l'immobilier à avoir contacté ce propriétaire. Alors soyez différenciant, sans dénigrer vos confrères (ce qui est désormais répréhensible par la loi) et sans mentir !

4. Rater sa proposition de rendez-vous

Votre appel de pige doit être rapide et précis, avec pour principal objectif, la rencontre avec votre interlocuteur. ( et non le mandat !!). Vous devez donc rapidement enchaîner sur une phrase du type : " « Je peux passer demain à 14h ; êtes-vous disponible pour que l’on puisse se rencontrer ? ". Vous devez impérativement rencontrer votre interlocuteur pour vérifier si son bien pourrait corrrespondre aux attentes de vos clients.
Si votre prospect est d'accord pour vous rencontrer, notez directement votre rendez-vous dans votre logiciel de pige. Evitez les feuilles volantes et programmez un rappel. Certains logiciels de pige ont l'avantage de se synchroniser avec votre agenda Google !

5. Abandonner trop vite ou ne pas savoir répondre aux objections

Si votre interlocuteur refuse, cherchez alors à savoir pourquoi, peut être que l'horaire ou le jour ne convient pas. Vous pouvez alors proposer un autre rendez-vous. Si l'objection : "Je ne veux pas d'agence" intervient nous vous invitons à consulter l'article suivant : Pige, Comment traiter l'objection "Je ne veux pas d'agence" ?" pour développer des automatismes et transformer cette objection en opportunité.

En posant des questions ouvertes et en prenant des notes sur votre logiciel de pige, vous connaîtrez mieux votre prospect et serez en capacité de gérer ce que l'on appelle "l'après pige". Suivez alors votre interlocuteur dans le temps et programmez un rappel car un refus n'est jamais définitif !

Pour faciliter votre pige et faire des refus des exceptions, nous vous conseillons l'outil suivant : cliquez ici :)

Vous n’arrivez pas toujours à faire face à l’objection « je ne veux pas d’agence » ou la simple mention « agence s’abstenir » vous fait passer votre chemin ? Face à un vendeur tétu, il peut être utile de connaître quelques techniques de négociation pour inverser la tendance et parvenir à signer un mandat. Parmi les plus connues, la technique du pivot a fait ses preuves et pourrait bien vous permettre de signer vos prochains mandats. Zoom sur différentes techniques imparables selon Benoit Ipponich, manager chez Sinimo :

Ecouter son prospect et poser de questions

Ecouter votre prospect et savoir poser des questions ouvertes est indispensable. Il n’existe pas de recette magique pour décrocher un mandat car chaque prospect est différent. Pour qu’il devienne votre partenaire, vous devez donc comprendre sa façon de voir les choses, ses peurs et ses croyances. Respectez sa position et écoutez ses arguments.

Ne jamais s’opposer à lui

Vous souhaitez être plus convainquant et plus persuasif avec vos prospects ? La règle d’or est de ne jamais s’opposer à votre interlocuteur ! L’attaquer de front n’aurait que des effets négatifs.

Mieux vaut faire preuve de délicatesse et pour cela, la technique du pivot est votre alliée.

La technique du pivot, votre outil pour convaincre

Votre objectif : changer la vision du vendeur sur un point ou lui en donner une autre tout en délicatesse et sans jamais s’opposer à lui. « Faire passer vos idées en douceur aura bien plus d’impact que de le braquer » explique Benoit. Par exemple, votre prospect vous partage son idée selon laquelle la mise en vente d’un bien est une chose relativement facile à réaliser, et tout à fait à sa portée. Dans ce cas-là, confortez-le dans son idée et expliquer lui le véritable défi à relever.

Mettre en vente un bien en rédigeant une annonce peut être à la portée de tout un chacun, mais vendre réellement son bien immobilier est plus compliqué et nécessite certaines connaissances. Changez alors ses croyances en lui expliquant que de nombreux compromis ne se concrétisent finalement pas entre particuliers pour diverses raisons, alors qu’avec un professionnel de l’immobilier tout est plus rapide. Rappelez-lui les risques de procès après une vente, l’importance d’être accompagné juridiquement par un professionnel, etc…En fin de compte, si 70% des ventes se font via l’intermédiaire d’un professionnel, cela n’est pas sans raisons, et c’est bien ces raisons là que vous devez lui exposer : efficacité dans la négociation, vente plus rapide, organisation des visites et filtrage, demandes régulières, etc…

Signer rapidement le mandat

Lorsque votre prospect sera enfin convaincu, il vous faudra rapidement signer ce fameux mandat, (si, et bien si, vous êtes en accord sur le prix du bien ). « C’est là que Sinimo intervient » explique Benoit. « Avec cet outil, disponible sur PC, Mac, tablettes et smartphones, vous pourrez signer le mandat directement sur place et prendre en photo les différents documents indispensables à la mise en vente du bien pour les annexer ».

C’est simple, rapide, et votre prospect n’aura pas l’occasion de changer d’avis.

Bien souvent les professionnels de l’immobilier parviennent avec douleur à conclure un accord puis lorsqu’ils reviennent chez le client pour faire signer le mandat officiel, celui-ci a déjà changé d’avis. « Il a des doutes, d’autres questions et l’exclusivité tombe ! C’est bien dommage et cela peut être évité lorsque l’on a les outils pour battre le fer tant qu’il est encore chaud ». Sinimo permet de créer n'importe quel type de contrats immobiliers, parfaitement mis en page quel que soit le lieu où vous vous trouvez pour seulement 29€ HT / mois. ! Plus d'infos ici ou par téléphone au 03 68 38 32 32

Après l’exceptionnelle période de confinement qu’a vécu la France jusqu’au 11 mai 2020, l’heure est à la reprise sous la menace d’une des plus graves crises économiques du siècle. Le gouvernement français, afin d’éviter la faillite de nombreuses entreprises et l’augmentation dramatique du chômage, a dégainé un dispositif ambitieux. Il a notamment proposé “un mécanisme exceptionnel et massif de chômage partiel” accompagné de la possibilité de reports de charges et une offre de prêts garantis. Après ces mesures, l'État dégaine désormais de nombreux plans de relance pour les secteurs les plus touchés, comme le tourisme ou l’automobile. Parmi eux, l’immobilier est aussi au cœur des débats. Toutefois, plutôt que d’aborder les mesures nécessaires à sa reprise, il est perçu comme une manne financière par l'État. Augmenter la taxe sur les plus values immobilières permettrait de financer le déficit public, sans augmenter les impôts des ménages. C’est une fausse bonne idée selon Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim et voici pourquoi en deux arguments clés.

Augmenter la taxe plus value immobilière affecterait les ménages

Très souvent mis en avant, l’argument en faveur de l’augmentation de la taxe sur la plus value en immobilier est qu’elle permettrait d’augmenter les recettes de l'État, sans pénaliser les ménages. Toutefois, cela signifie oublier qu’une partie des propriétaires sont les ménages eux-mêmes, déjà affectés par un dispositif contraignant en termes de taxes. Il est pourtant le seul secteur qui représente un véritable potentiel d’investissement pour les classes moyennes, voire constitue leur plan d’épargne retraite.

En France, 57 % du parc privé est détenu par des bailleurs particuliers, c’est-à-dire des ménages, et six Français sur dix sont propriétaires.

Parmi eux, un tiers sont non imposables et un autre tiers sont des retraités qui utilisent leur bien en locatif comme un complément de revenu. Aussi le calcul de taxe sur la plus value immobilière ne tient pas compte de ce paramètre et peut donc pénaliser, avant tout, les ménages. À l’incertitude liée au contexte actuel s’ajouterait pour eux celle de la fiscalité.. Les ménages français ont été ou vont être fortement touchés par la crise et une augmentation de la taxe plus value immobilière ne ferait qu’augmenter la nécessité de décaler leur projet d’investissement. Cela pénaliserait l’ensemble du secteur, qui reste une activité économique clé pour la France explique le président de la Fnaim.

Augmenter la taxe plus value immobilière pénaliserait un secteur économique clé pour la France

Se loger est un besoin primordial et le secteur immobilier demeure fondamental pour l’économie nationale. C’est un secteur ancré sur la notion de territoire et dont le champ d’action est local. En France, il est le 6ᵉ employeur national et un grand nombre des emplois qu’il génère sont non-délocalisables. Le secteur de l’immobilier couvre un large spectre d’activités et de métiers. Il comprend la gestion et la promotion immobilière, ainsi que l’ensemble des transactions. Il alimente également d’autres secteurs clés de l’économie comme le BTP et la construction. Pourtant, c'est aussi un secteur fortement taxé.

La fiscalité immobilière représente déjà 100 milliards d’euros à travers de nombreux dispositifs : taxe plus value immobilière, impôt sur la fortune immobilière, impositions sur les revenus immobiliers, taxe foncière, etc.

Régulièrement les débats sur l’augmentation de ces taxes, notamment la taxe plus value immobilière, refont surface. C’est une mesure présentée comme nécessaire et juste pour contribuer au budget public.

Cependant, augmenter la taxe plus value immobilière ne ferait qu’aggraver la crise que va subir le secteur alerte Jean-Marc Torrollion.

Suite au confinement, on a assisté à un arrêt brutal du secteur immobilier, qui affichait pourtant un dynamisme vigoureux, avec une croissance à deux chiffres, fin 2019. Désormais, à l’incertitude liée à la crise sanitaire s’ajoutent les pertes économiques pour les ménages et les investisseurs, ainsi qu’une contraction du secteur bancaire engendrant une augmentation des taux des prêts immobiliers. Tous ces facteurs vont rendre la reprise du secteur immobilier, qui reste clé en termes de flux financiers et d’emplois, incertaine et instable. Y ajouter une augmentation de la taxe plus value immobilière serait le coup de grâce.

À la crise sanitaire se succède une crise économique et une situation bancaire très tendue. Ces facteurs ont tendance à affecter, plus que tout autre secteur, le dynamisme du secteur immobilier. Augmenter la taxe sur plus value immobilière ne ferait qu’empirer cette situation. Si, de prime abord, l’immobilier est vu comme une manne par l'État, la pierre est en réalité un des rares investissements accessibles à de nombreux ménages, lorsque les indicateurs sont favorables.

Plutôt qu’une augmentation de la taxe plus value immobilière qui est une fausse bonne idée, l’immobilier nécessite un plan de relance au même titre que ceux prévus pour d’autres secteurs clés de l’économie française.

Depuis le 1er juin, l’organisation d’une assemblée générale de copropriété en visio-conférence a été validée par le gouvernement. En effet, la crise du COVID-19 et le confinement qui s’en est suivi a rendu la prise de décision en réunion de copropriété très délicate. L’ordonnance du 20 mai permet une nouvelle fois des prolongations de mandat de syndic ou de membres du conseil syndical. Ces mesures, permettant la tenue d’une assemblée générale des copropriétaires par l’utilisation de moyens sécurisés, permettront de valider des décisions qui avaient parfois déjà été prises avant le confinement mais n’avaient pas pu être soumise au vote.

Réunion en copropriété : visio-conférence autorisée jusqu’au 31 janvier 2021

Le dispositif qui est mis en place depuis ce lundi 1er juin restera en place jusqu’au 31 janvier 2021. C’est l’occasion de se familiariser avec l’organisation de ce type de réunion pour le syndic. Car tous ne sont pas coutumier de l’utilisation de ce type d’outils et devront certainement – si ce n’est déjà le cas – prévoir un temps d’adaptation afin de tester les applications ou le matériel sécurisé leur permettant d’identifier à coup sûr chacun des copropriétaires.

Une assemblée générale en copropriété sans présence physique : et la sécurité ?

La présence physique n’est en effet peut-être plus requise, mais chacun des membres de l’assemblée générale en copropriété doit pouvoir voter sans équivoque. Cela signifie par exemple, qu’il n’est pas question d’utiliser des plate-formes non sécurisées comme « Skype », « Messenger » ou « Whatsapp » pour ne citer que les plus populaires. Il existe toutefois nombre d’autres plateformes qui nécessitent une identification préalable de la personne qui se connecte à la visio-conférence. C’est un préalable indispensable pour organiser cette assemblée générale en copropriété.

Convoquer l’assemblée générale en copropriété : de nouvelles dispositions

Si, pour l’une ou l’autre raison, la convocation de l’assemblée générale en copropriété n’a pas eu lieu, le syndic n’est plus tenu d’y indiquer le lieu de réunion. Cela s’avère utile dans la mesure où désormais, le membre de l’assemblée générale en copropriété ne doit plus assurer de présence physique pour exercer son droit de vote. Si la convocation avait déjà été envoyée, une information peut être envoyée aux membres de l’AG leur précisant les nouvelles dispositions pour l’accès en visio-conférence.

Et s’il n’est pas possible d’organiser l’assemblée générale en copropriété par visio-conférence ?

La volonté des autorités a été de permettre de débloquer la situation de blocage provoquée par le confinement. Dès lors, et si l’utilisation de moyens électroniques n’est pas possible, le vote par correspondance est toléré. Ce sera donc au président du conseil syndical de valider le vote et de mettre ne place les mesures transitoires telles la certification de la feuille de présence et la rédaction du PV d’assemblée.

Autres dispositions utiles pour la tenue de l’AG : les mandats

Une autre disposition intéressante permettra aux membres de l’assemblée générale en copropriété ne pouvant être présent à la réunion de désigner des mandataires qui pourront porter 15% au lieu de 10% du nombre de voix. Ceci s’applique aux mandataires recevant plus de trois délégations de votes de copropriétaires.

Un vent nouveau souffle sur les réunions de copropriétaires

Bien que la possibilité d’organiser des visio-conférences ait déjà fait l’objet d’ordonnances préalables, que d’autres mesures comme les visites virtuelles ou la dématérialisation des actes de ventes (et autres actes), c’est un coup d’accélérateur qui est porté sur l’utilisation des nouvelles technologies dans le marché de l’immobilier. Donner la possibilité d’assister à ce genre de réunions via des moyens technologiques dispensant le copropriétaire d’être présent physiquement pourrait ouvrir de nouveaux horizons au marché immobilier.

En effet, pourquoi ne pas proposer l’acquisitions de biens à des personnes ne résidant pas sur le territoire ? Cela pourrait induire un nouveau souffle, une nouvelle dynamique à un marché qui plus que jamais sera considéré comme une valeur refuge pour les investisseurs. Nous en voyons d’ailleurs déjà les premiers prémices : la fin du confinement motive de nombreux acquéreurs à acheter des biens en-dehors des grandes agglomérations. Sans compter l’immobilier locatif qui, à coup sûr, va aussi profiter de cette conjoncture inédite.

Cette année, plus que jamais, les vacances seront tricolores et les locations saisonnières intéressantes trouveront rapidement preneurs ! Selon une récente étude, près de 9 français sur 10 resteront en France pour leurs vacances d’été. Il serait donc temps de rentrer des mandats à l’aide d’un logiciel adapté et justement, on a trouvé le logiciel qu’il faut vous :

Un logiciel de pige intégrant les locations saisonnières

Les bailleurs ont plus que jamais besoin de vos services ! Un professionnel de l’immobilier respectant les conditions sanitaires et assurant les visites, c’est plus que rassurant en cette période particulière, vous avez donc toutes les chances de rentrer des mandats à condition de bien organiser votre pige et de préparer vos arguments.
Tous les logiciels de pige ne propose pas une recherche avec un tri pour les locations saisonnières et une mise en page adaptée ! (Renseignez-vous bien avant d’investir ! ) Afin d’en savoir plus, nous avons rencontré le directeur de Pige Online, Olivier Drouot, qui a décidé » d’intégrer cette rubrique bien utile à son logiciel :

« Lorsque l’on recherche une location saisonnière, on ne recherche pas une superficie, mais un nombre de pièces, un volume pour X personnes avec un balcon, une terrasse, un jardin ou un parking. » explique Olivier Drouot.

« Dans Pige Online, nous avons donc intégré cette logique de recherche et adapté la mise en page. Lorsqu’un professionnel recherche un bien pour un client, sa recherche est facilitée…il n’a plus qu’à contacter le propriétaire et rentrer le mandat sans avoir eu à consulter la liste Bloctel. »

Gagner du temps et dénicher les perles rares

Comme toujours, les biens immobiliers les plus intéressants, qu’il s’agisse d’une location saisonnière, d’une location classique ou d’un loft à vendre dans un quartier prisé sont pris d’assaut ! Il vous faut donc dénicher vos mandats avant vos concurrents et dans cette optique, le logiciel de pige est l’outil le plus adapté. Pourquoi ? Car vous n’aurez plus à consulter 1001 pages sur les portails immobiliers, perdre des heures à trier vos annonces, interroger Bloctel, etc…

Avec un logiciel de pige, vous n’avez qu’à paramétrer une alerte, pour être informé dans les minutes qui suivent, de la parution d’une annonce correspondante à vos critères ! En cette période de déconfinement, plutôt chargée pour la plupart des professionnels qui doivent faire face à de nombreuses demandes, cette fonctionnalité est bien pratique !

C’est simple, rapide et toutes les informations trouvées sur internet concernant une annonce sont synthétisée dans votre logiciel : baisse de prix, localisation exacte ou partielle sur carte, description complète, photos. Il n’est pas rare qu’un propriétaire diffuse son adresse email sur un site mais pas sur un autre, publie diverses photos et accepte de géolocaliser uniquement lorsque cette option est obligatoire...

Avec un logiciel de Pige vous aurez une meilleure connaissance du bien et toutes les clés en main pour préparer au mieux vos arguments sans perdre de temps.

Notez vos appels, rappels à effectuer et rendez-vous

L’objectif premier d’un logiciel de pige c’est bien de vous faciliter la vie…C’est en tout cas le Leitmotiv de Pige Online qui cumule les avis positifs depuis plusieurs années. Exit les feuilles volantes, avec un bon logiciel vous serez plus organisé et donc nettement plus efficace ! Sur chaque annonce vous pouvez indiquer en 1 clic si vous avez contacté un propriétaire, planifié un rendez-vous, programmé un rappel ou simplement noter un commentaire. Lorsque vous visualisez votre flux d’annonces, toutes ces informations apparaissent. Vous ne contacterez ainsi jamais un même propriétaire 2 fois sans raison sur votre secteur…

2 mois gratuits

Ce logiciel de pige, qui est actuellement le moins cher du marché (29€ / mois) propose 2 mois gratuits pour tout abonnement annuel. Il vous suffit de contacter le 03 68 38 27 27 pour en bénéficier et paramétrer vos 20 codes postaux (voir l’offre ici).