Tiffany WILLM

Tiffany WILLM

Passionnée par l'immobilier et chargée de communication depuis des années

En tant qu’agent immobilier, détenteur d’une carte professionnelle, vous êtes tout à fait apte à rédiger un compromis de vente.  C’est même un acte gratifiant après plusieurs heures passées sur un dossier ! Chloé Hubert, coach et business developper chez Sinimo vous explique via une interview exclusive comment accompagner vos clients et rédiger un compromis de vente 100% conforme à la réglementation en vigueur. 

90% des compromis de ventes se passent bien! Mais parfois, dans 10% des cas, cet avant-contrat peut donner lieu à des situations quelque peu...Rock 'n' roll ! 

Agent immobilier le jour, Humoriste la nuit, Julien Brizet est aussi coach et formateur immobilier. Il dispense des formations innovantes dans toute la France! YouTubeur immobilier se servant de l’humour comme d’une véritable force dans la vente, il intervient également sur scène lors de rassemblements immobiliers. Ses vidéos décalées ont déjà séduit de nombreux professionnels de l'immobilier. Voici l'une de ses dernières parodies humoristiques avec des personnes toujours plus hilarants les uns que les autres ! 

 

 

Depuis le 1er janvier 2022, Guillaume Martinaud est le nouveau Président de la Coopérative Orpi pour une durée de 4 ans.

Il succède à Christine Fumagalli, Présidente entre 2018 et 2021. À la tête de la Coopérative, Guillaume Martinaud a pour ambition de renforcer la puissance d’Orpi en conjuguant la force du Réseau national à l’expertise métier et locale de ses associés et collaborateurs.

Le 1er janvier 2022, Guillaume Martinaud est devenu Président de la Coopérative Orpi après avoir été élu par ses pairs à l’issue de 6 mois de campagne. Membre du Réseau depuis plus de 25 ans et aujourd’hui associé de l’agence Moné Martinaud située à Capbreton, Guillaume Martinaud souhaite insuffler son expertise terrain et replacer les associés et collaborateurs au cœur de la stratégie. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Guillaume Martinaud entend redonner du sens à ce qui fait la plus grande force d’Orpi : son modèle coopératif, convaincu que ce sont ses associés qui feront la réussite de la Coopérative demain. Au-delà de valoriser le modèle du Réseau, Guillaume Martinaud se donne la mission de soutenir l’expertise de ses associés et renforcer l’implantation du Réseau sur l’ensemble du territoire. Une ambition forte guidera l’ensemble de ses actions : faire des agences Orpi, des références partout en France afin d’accompagner les clients tout au long du parcours immobilier.

" C'est une très grande fierté pour moi d’avoir été élu à la tête de la Coopérative Orpi et représenter ses 1 200 associés, 8 00 collaborateurs et 1 350 agences. Ce Réseau, dont je suis membre depuis 25 ans a contribué à mon évolution professionnelle. C’est aujourd’hui à moi de lui rendre la pareille, et de continuer de le faire grandir.

Je suis convaincu que le modèle coopératif est le plus adapté pour répondre aux enjeux qui se présentent à nous aujourd’hui.

Sur un marché où la concurrence est de plus en plus importante, c’est l’Humain qui marquera notre différence. Plus que jamais, nous devons nous adapter aux grands changements de notre société, et aux nouveaux comportements de nos clients. En tant que Président, je souhaite accompagner cette évolution aux côtés de nos collaborateurs et associés."

 

4 pilliers renforçant la dynamique enclenchée

Élu à la tête d’Orpi pour une durée de 4 ans, Guillaume Martinaud et son équipe travailleront autour de 4 piliers clés, qui confirment et renforcent la dynamique enclenchée :

#Optimiser le parcours clients
Les attentes des clients évoluent année après année a fortiori dans un contexte de crise sanitaire et économique. En tant que réseau majeur, Orpi doit évoluer au même rythme. Une adaptation qui passe par la digitalisation et formation des agents pour fluidifier le parcours immobilier des clients. En gagnant temps et efficacité, les agents peuvent se consacrer à l’essentiel : l’accompagnement des clients dans leur projet.

#Étendre le maillage du Réseau
L’implantation du Réseau sur l’ensemble du territoire est la clé de voute pour être au plus proche de ses clients et ancrer le rayonnement local d’Orpi. En renforçant le maillage des agences au cœur des villes et communes, avec des agents experts de leur secteur, les agences Orpi peuvent ainsi s’appuyer sur la puissance d’un réseau national et capitaliser sur leur expertise locale en faveur des clients.

#Fluidifier le parcours ADB
Avec une demande en forte croissance, plus que jamais, il faut agir sur l’offre. Sur le marché locatif, il s’agit de redonner confiance aux bailleurs-propriétaires pour mettre leur bien sur le marché et redynamiser l’offre locative. Orpi a à cœur de soutenir ses associés, notamment dans le déploiement sur leurs activités de gestion de biens afin d’accompagner avec plus de proximité les propriétaires.

#Faire preuve d’engagements pour les associés, les collaborateurs et les clients
Fort de son ADN coopératif, Orpi entend replacer ses associés au cœur de sa stratégie. En s’engageant à les accompagner sur les thématiques de rénovation énergétique ou d’accès au crédit ou en mettant à disposition les meilleurs outils, Orpi misera sur l’expertise métier de ses collaborateurs pour offrir le meilleur service à ses clients. Pour porter ses valeurs coopératives, Orpi s’engage à maintenir une dynamique d’emploi et renforcer la solidarité en soutenant des initiatives nationales et locales.

 

A propos de Guillaume Martinaud

Guillaume Martinaud, 54 ans, débute sa carrière en 1992 en tant qu’agent immobilier dans l’agence familiale, située dans le Vexin, après l’obtention de son diplôme de l’École Supérieur des Professions Immobilière (ESPI). Il rejoint quelques années plus tard le Réseau Orpi (en 1996), qu’il ne quittera plus. Il est d’ailleurs aujourd’hui associé à Jean-Mic Moné, membre depuis plus de 40 ans du réseau Orpi, où ils dirigent ensemble l’agence Moné Martinaud à Capbreton.

En 2009, Guillaume Martinaud prend la tête du GIE Ouest Parisien du Réseau Orpi, fonction qu’il assure jusqu’en 2014. À la Présidence du GIE, il gère les relations entre agences et en assure le développement. En 2015, Guillaume Martinaud devient membre du Conseil de Gérance, avec la volonté d’être au cœur du système pour faire grandir la Coopérative. Il prend en charge la DSI du Réseau, pour développer les outils métiers et mieux accompagner les collaborateurs sur le terrain. Depuis le 1er janvier 2022, Guillaume Martinaud est Président de la Coopérative Orpi avec une ambition forte de faire des agences de la Coopérative, les références de l’immobilier. Il s’appuiera ainsi sur l’expertise de ses associés, pour un accompagnement des clients tout au long de leur parcours immobilier avec une implantation fine sur l’ensemble de l’hexagone.

 

 

 

 

 

Votre défi pour 2022 ? Trouver un bien immobilier qui correspond aux critères de chacun de vos clients ! Avec l’expérience, vous savez ô combien cela peut être compliqué !

 

Dominique Piredda s’est fait connaître grâce à ses vidéos gratuites sur Youtube visionnées chaque mois par des milliers de pros de l’immo. Ancien conseiller indépendant chez Capifrance puis au sein du réseau Dr House Immo où il est aujourd’hui coach, il a fait le pari de lancer il y a quelques années Immo Academy. C’est un organisme de formation homologué par Qualiopi qui a accompagné à ce jour plus d’un millier de conseillers en immobilier. 

 

La formation comme un outil

"Former juste pour délivrer des attestations ce n’est pas vraiment le crédo d’Immo Academy. La formation doit être une manière de se différencier de nos confrères et concurrents."

"Il doit y avoir une valeur ajoutée forte et ces 14 heures ou plus doivent trouver une rentabilité pour le conseiller mais aussi pour ses clients. Le formé peut choisir de revoir des fondamentaux, ou aborder des pans complets du métier comme le viager ou l’urbanisme" nous confie Dominique Piredda. 

 

Un suivi administratif complet

C’est un point important : une formation peut être prise en charge.  Il serait dommage de ne pas bénéficier de ces fonds disponibles pour chacun. Oui, mais comme on le sait tous, l’administratif peut s’avérer rebutant. Des documents à fournir, un dossier à monter, puis des interlocuteurs à relancer. « Chez Immo Academy nous avons choisi de mettre en place un suivi complet. Le conseiller ou la conseillère peut s’appuyer sur Nathalie, notre assistante ultra efficace. Elle va l’accompagner de A à Z pour s’assurer que tout se passe comme il faut. Elle est rodée à l'exercice et garantit la création et le suivi du dossier. Chez Immo Academy, l’apprenant est libéré du fardeau administratif et peut donc profiter pleinement de ses formations. »

 

Une équipe pédagogique à l'écoute

« On pourrait se demander : qu’y a t il de plus barbant que de passer 7h ou 14h à l’école ? Sauf si le cours est intéressant, vivant, qu’il comporte des interactions. Sauf si l’intervenant que l’on a en face de nous sait nous interpeller, piquer notre curiosité. Chez Immo Academy on a cette vision d’une formation humaine et énergisante. On essaye d’insuffler des échanges, de répondre aux questions, de coller le théorique au pratique... bref de faire des formations que l’on aurait plaisir à suivre. »

Un programme est disponible sur simple demande par email à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Dominique Piredda de conclure: "En 2022 plus que jamais, nos clients auront besoin d’avoir affaire à des conseillers spécialistes en immobilier. De vrais pros. C’est la vision à avoir."

"Se former dépasse le simple fait de remplir une obligation légale. Il s’agit pour moi avant tout de s’améliorer afin de justifier pleinement la confiance que nos clients ont placée en nous."

Seule environ 20% des entreprises ont décidé de dématérialiser totalement leur processus. Malgré les nombreux inconvénients générés par l’utilisation du support papier, de nombreuses agences immobilières continuent d’en dépendre ! Avec les différentes lois votées ces derniers mois, l’année 2022 pourrait-elle enfin marquer la suppression du papier dans le secteur immobilier ?

L’an dernier, les professionnels du secteur s’inquiétaient des possibles répercussions de la récession sur les intentions des Français en matière de projets immobiliers. Si les très bons résultats du second semestre 2020 laissaient espérer une année 2021 plus sereine, personne ne s’attendait en revanche à un tel volume de transactions, qui signe une nouvelle année record ! Le marché immobilier apparaît comme préservé de la crise, dans un contexte de reprise économique. Le chômage et les taux d’intérêt, tous deux au plus bas, participent incontestablement à cette dynamique, tout comme l’organisation des entreprises, avec la progression du télétravail. Le logement revient au centre des préoccupations des Français. La notion de résidence semi-secondaire, issue des confinements, s’est encore accentuée en 2021, notamment dans les villes moyennes et rurales, qui attirent des Français disposant d’un fort pouvoir d’achat immobilier. En région, les maisons, prises d’assaut, tirent le marché vers le haut, tandis que l’offre continue de s’assécher sur l’ensemble du territoire.

La demande de logements de plus en plus pressante

La demande continue d’accélérer pour atteindre + 18 % au national par rapport à 2020, année qui était certes entachée par les confinements, mais déjà extrêmement dynamique. Les investisseurs restent très actifs, représentant un quart des intentions d’achat. L’immobilier conserve son statut de valeur refuge grâce, notamment, à des taux d’intérêt qui se stabilisent autour de 1 %. Et ce sont les maisons qui profitent le plus de cet intérêt, avec + 19 % enregistrés sur ce type de bien en 2021 contre « seulement » + 9 % pour les appartements. 

Sur Paris, la demande a été clairement relancée en 2021 (+ 18 %), après une année 2020 morose. On reste néanmoins en dessous du niveau habituel. Une situation liée, en partie, à l’absence de la clientèle internationale mais aussi aux interrogations des investisseurs face à de nombreux sujets : encadrement des loyers, impacts de la loi Climat et Résilience... Avec une hausse de 14 % de la demande, l’Île-de-France confirme, cette année encore, son rôle de marché de report pour les Parisiens en quête d’espace. Il s’agit principalement de propriétaires ayant revendu leur bien et profitant de la plus-value pour trouver une maison avec jardin ou un appartement avec extérieur tout en étant désireux de rester dans le même bassin de vie. 

Dans les régions, les villes moyennes sont à l’évidence les grandes gagnantes de cette année 2021 sur le plan de la demande (+ 19 %).

Les habitants des grandes agglomérations ont mal vécu les confinements successifs et aspirent à plus d’espace et de qualité de vie.

 

Une offre à bout de souffle

Après 4 années historiques en volumes de transactions, qui ont contribué à assécher les stocks sur l’ensemble du territoire, l’offre affiche un nouveau recul de 15 % par rapport à 2020. Si tous les types de biens sont concernés par cette pénurie, ce sont les maisons qui sont les plus impactées, avec une diminution de 16 % des mises en vente (contre - 4 % pour les appartements). Paris fait toutefois exception, avec un marché qui s’est détendu tout au long de l’année, débouchant sur une offre qui s’est reconstituée à hauteur de 24 %. Rappelons toutefois que cette hausse ne représente dans la réalité que 2 biens supplémentaires dans le portefeuille d’une agence immobilière. En Île-de-France, deux tendances s’entrechoquent, avec d’un côté un stock d’appartements qui se reconstitue progressivement, et de l’autre une offre de maisons qui recule fortement, conduisant à un juste équilibre, soit - 1 % de variation du niveau de l’offre par rapport à 2020. C’est dans les régions que la baisse des mises en vente est la plus spectaculaire (- 23 %), après une année 2020 déjà marquée par un fort recul. Jamais les stocks n’ont été aussi bas.  

Globalement, cette réduction de l’offre de biens se situe au croisement de plusieurs tendances. En amont, un marché du neuf à la peine, avec l’arrêt de nombreux chantiers en 2020 et, aujourd’hui, des difficultés d’approvisionnement en matériaux. Ensuite, les propriétaires d’un logement avec de l’espace et un extérieur ont parfois renoncé à vendre pour conserver ces privilèges aujourd’hui enviés par beaucoup de Français. 

 

Une nouvelle année record en matière de transactions

+ 20 % par rapport à une année 2020 affectée par les confinements et la crise sanitaire, c’est la croissance record du volume de transactions constatée en 2021 au sein du réseau Laforêt.

Une hausse qui s’établit même à + 3,6 % par rapport à 2019, pourtant la meilleure année de tous les temps dans l’immobilier ancien. Les Français profitent pleinement de taux d’emprunt très faibles pour acquérir un logement plus spacieux, réaliser un investissement locatif ou s’offrir une résidence secondaire. 

Paris retrouve une activité positive (+ 27 %), même si capitale marque un recul par rapport à son niveau d’avant-crise (- 8 % vs 2019). Les transactions en Île-de-France progressent dans les mêmes proportions que le marché au national (+ 20 %), freinées par la réduction des stocks. Enfin, le volume de transactions en région s’établit à + 21 %, bien que l’on perçoive un léger ralentissement de cette dynamique sur le dernier trimestre 2021 en comparaison avec le deuxième semestre 2020, accentué par l’effet de rattrapage post-confinement.

 

En région, les citadins en quête d’espace et de verdure font grimper les prix !

En 2021, les prix restent orientés à la hausse (+ 6,1 % au national, à 3 394 €/m2) sauf dans la capitale qui enregistre un léger recul (- 1,4 %), mais reste au niveau d’avant-crise à 10 376 €/m2.

Et c’est là encore sur les maisons que la hausse est la plus significative : + 7,9 % contre + 4,5 % pour les appartements. Malgré un léger tassement cet été, les prix restent donc sur une tendance haussière du fait d’un effet de rareté et d’une demande qui ne cesse de progresser. 

En région, cette croissance atteint même + 8,2 % (à 2 430 €/m2). Dans certaines villes, les prix s’envolent, comme à La Rochelle (+ 9 % sur le prix du m2), mais aussi dans les agglomérations situées à proximité de l’Île-de-France, comme Orléans (+ 7 %). La Bretagne et la Normandie sont également très prisées depuis 18 mois, enregistrant des progressions de prix dans l’immobilier ancien significatives, comme au Havre (+ 8 %) ou à Brest (+ 9 %). Dans les grandes métropoles, comme Bordeaux et Lyon, la hausse reste contenue sous la barre des 2 %. Seule Marseille fait exception : la cité phocéenne a ainsi vu le prix de son m2 augmenter de 7 % en 2021.

 

Des ventes réalisées en moins de 3 mois, partout en France

Traduisant la très forte dynamique du marché, les délais de vente passent au national sous la barre des 80 jours (79 exactement), soit 2 semaines de moins qu’en 2020. Tout se vend, et vite, y compris dans les régions (83 jours). À titre de comparaison, il fallait compter 97 jours en moyenne en 2019 pour signer une transaction en dehors de Paris ou de l’Île-de-France. Les acquéreurs se décident rapidement et il n’est désormais plus rare de voir plusieurs offres d’achat simultanées sur un même logement. 

À Paris, les délais de vente se stabilisent à 77 jours. Toutefois, il faut rappeler qu’ils n’étaient que de 59 jours en 2019. Enfin, l’Île-de-France profite pleinement du report des Parisiens sur son territoire, avec des délais de vente qui accélèrent de manière significative (67 jours), soit 11 jours de moins qu’en 2019. Des chiffres qui traduisent, là encore, l’attractivité de cette région qui concentre de nombreux avantages : bassin économique, infrastructures de transport, pôles éducatifs et culturels de référence.

 

Les marges de négociation se maintiennent 

Au national, l’écart entre le prix de vente et celui acté à l’achat s’élève à 4,5 % en 2021 (contre 4,4 % en 2020). On entre dans une phase de normalisation de la négociation. Au sein du réseau Laforêt, la pression a été ressentie de façon plus forte au cours du premier semestre avec des écarts de prix encore plus faibles, notamment sur les maisons. Sur Paris, cet écart s’établit à 2,90 % contre 3,10 % en 2020. Le marché a repris des couleurs et la baisse modérée des prix a encouragé les Parisiens à se montrer plus mesurés dans leurs négociations. En Île-de-France, avec un écart de 3 %, les acheteurs négocient moins qu’en 2020 (3,7 %). Enfin, en région, la négociation se réduit sensiblement par rapport à ce qu’elle était en 2020, soit 4,70 % contre 5,60 % l’an dernier.

 

Perspectives du marché immobilier ancien en 2022 : entre menaces et opportunités

L’avenir se dessine aujourd’hui entre menaces et opportunités. À quelques mois de l’échéance, les élections présidentielles ne semblent pas inquiéter nos concitoyens. En revanche, l’inflation du coût de la vie en général, et de l’énergie en particulier, est un sujet de préoccupation. D’autant que la hausse des taux d’intérêt pourrait être envisagée comme solution pour juguler cette tendance inflationniste, même si la Banque Centrale Européenne se veut rassurante. Un tel scénario aurait un impact direct sur le nombre de ménages éligibles à l’achat et sur les enveloppes de financement allouées par les banques. Elle servirait en revanche les prix des biens, qui pourraient atterrir, voire régresser, permettant à de nouveaux acquéreurs de venir ou de revenir sur le marché.

Autre menace identifiée, celle que fait peser la loi Climat et Résilience sur le parc immobilier existant.

Les investisseurs pourraient en effet repenser leurs projets, anticipant les coûts élevés engendrés par l’obligation de rénover les logements énergivores à visée locative. La probable hausse de la taxe foncière ou la surtaxe d’habitation sur les résidences secondaires pourraient également impacter les décisions immobilières des Français. L’absence d’une vision de l’aménagement et du développement des territoires reste un sujet d’inquiétude pour 2022 : un débat jusqu’à maintenant totalement absent de la campagne présidentielle. Enfin, les banques, qui n’avaient jusqu’à présent que des recommandations à suivre en matière de conditions d’octroi de crédits, auront demain l’obligation de ne pas dépasser 35 % d’endettement et 25 ans de durée d’emprunt, ce qui ne sera pas sans conséquence sur les investisseurs et les ménages les plus modestes. 

Face à ces contraintes, 2022 laisse néanmoins apparaître de véritables opportunités. Le télétravail qui s’organise dans beaucoup d’entreprises, encourage la mobilité résidentielle et permet à de nombreux français de s’éloigner des métropoles pour accéder à des logements plus grands et à une autre qualité de vie. Par ailleurs, l’offre limitée d'immobilier neuf, à la peine depuis plusieurs années et fortement impacté par l’arrêt des chantiers en 2020, ainsi que par les difficultés d’approvisionnement en matières premières et par la flambée de leurs prix, pousse les acquéreurs vers le parc existant. 

La croissance économique que nous connaissons, gage de confiance, avec la France qui se situe dans le peloton de tête des pays européens en matière de reprise, devrait stimuler l’achat ou l’investissement immobilier. Le marché devrait donc poursuivre sur un rythme soutenu en 2022, la rareté de l’offre pesant encore sur les prix.

En tant qu'agent immobilier, vous allez adorer l'année 2022. Après une croissance de 10 % au cours de l'an 2021, la progression ne devrait pas faiblir. C'est même le contraire... Selon les experts de Xerfi, le marché devrait connaître une hausse additionnelle d'au moins 4 %. Pour les mandataires, les auspices sont encore plus favorables : c'est au moins +20 % qui vous attend. C'est fou à quel point le Père Noël s'est montré généreux envers les professionnels de l'immobilier...

 

L'émergence des nouvelles agences immobilières

Avec les changements du marché immobilier, les professionnels ont l'opportunité d'explorer de nouvelles stratégies. Pour les nouveaux entrants et les innovateurs en quête de modèles alternatifs, c'est une excellente nouvelle.

C'est ainsi que les néo-agences devraient gagner des parts de marché grâce à leurs prestations groupées et à leurs petits prix. Eh oui... Au sortir de la pandémie COVID-19, les acheteurs sont à la recherche de bons plans. Si vous vous positionnez sur ce segment, il est fort probable que vous crouliez sous les commandes. 

Autre grands vainqueurs de cette mutation professionnelle : les mandataires. Proposant plus de flexibilité que les agents immobiliers, ces hommes et femmes de terrain seront portés en liesse.

Arrimés aux dernières technologies, ils ont été les premiers à surfer sur les tendances de la digitalisation.

Bien évidemment, les agences traditionnelles ne sont pas exclues de cette prospérité économique. Attention cependant... Depuis 2018, les agents immobiliers salariés subissent une érosion croissante de leurs marges. Afin d'endiguer ce phénomène, Xerfi propose de rendre leurs frais flexibles. Et ce n'est pas tout... Pour encore plus de bienfaits, misez sur la digitalisation. L'agent immobilier de 2022 est un Homme connecté qui sait exactement comment tirer puissance du digital. L'outil Sinimo permettant de créer et signer électroniquement tous types de contrats immobiliers a déjà réussi à satisfaire près de 2300 clients, un chiffre qui pourrait bien être doublé en 2022 ! 

 

La mainmise de la digitalisation en immobilier

S'il faille reconnaître un avantage à la pandémie de la COVID-19, c'est que le virus a mis en exergue les avantages considérables d'internet. Plus la concurrence se fait forte, plus les agents immobiliers se familiarisent avec le World wide web.

En tant qu'agent immobilier, il est recommandé de digitaliser une partie de vos processus quotidiens. Par exemple, le fait d'utiliser des logiciels de saisie automatique d'annonces vous aidera à gagner en visibilité tout en optimisant votre temps. Comme les délais de traitements seront moins longs, les agents immobiliers pourront se concentrer sur le cœur de leur activité : dénicher la perle rare.

Comme autre exemple d'immobilier futuriste, il est aussi possible de mentionner les estimations immobilières. C'est une solution logicielle extrêmement simple mais qui accroît de façon notable les taux de conversion. Ancré sur un site internet, un plug-in permettant d'estimer la valeur d'une résidence est fort utile pour les particuliers. En juste quelques clics, ils peuvent savoir à combien acheter (ou vendre) une bâtisse.

Un autre aspect sur lequel il importe de travailler, c'est la qualité visuelle. Aujourd'hui plus que jamais, des photos soignées ou des représentations graphiques d'exception peuvent faire pencher la balance de votre côté. Ne lésinez pas sur les efforts pour convaincre les acheteurs, surtout s'ils sont primo-accédants. Visites virtuelles, modélisation 3D, photos professionnelles, ... Toutes ces prestations offrent une réelle plus-value à votre annonce immobilière.

Pour simplifier encore plus la tâche à vos clients, optez pour des outils transactionnels en ligne.

Évitez leur des déplacements inutiles avec Sinimo, une solution logicielle qui génère des contrats immobiliers avec signature électronique. Ainsi, même entre deux réunions, ils pourront consulter votre offre et l'acceptez (ou pas).

À noter que la liste est loin d'être exhaustive. Aux propositions faites ci-dessus, il est possible de rajouter des services complémentaires. Home staging, locations saisonnières, aide au déménagement, ... Les clients sont de plus en plus exigeants, désirant être traités comme de véritables rois.

2021 signe une année record dans le domaine de l'immobilier. Le marché immobilier dispose d'un fort dynamisme après les différentes périodes de confinement qui ont touché le pays. Depuis le début de l'année, le nombre de transactions enregistrée est de 1 198 000. Il s'agit d'un pourcentage de transactions en hausse par rapport à la moyenne, notamment un véritable record selon le Conseil supérieur du notariat. Le développement du télétravail et la concentration des Français vers des logements qui répondent à leur besoin sont d'importantes raisons qui poussent les acheteurs vers l'acquisition d'un bien immobilier.

 

2021, l'année des records en matière d'immobilier

L'immobilier est un secteur qui connait une vraie mutation en 2021. Malgré les différentes périodes de confinement, le marché immobilier a connu un nouveau record du début jusqu'à la fin de l'année. C'est un record énoncé par le Conseil supérieur du notariat. Sur une longue période de 12 mois, l'augmentation du pourcentage est de 14,5 % par rapport à la moyenne de 2019. Il s'agit d'une progression remarquable !

La crise sanitaire rencontrée par les Français a fait augmenter les besoins vers les points essentiels comme la qualité de vie et l'espace. La croissance de l'acquisition des maisons est devenue un besoin particulier. Outre la croissance du niveau de transactions, les prix ont aussi connu une hausse le long de l'année. Les provinces sont les zones qui connaissent une augmentation du prix.

 

Quelles sont les raisons qui poussent l'accélération de ce phénomène ?

La COVID-19 a permis à beaucoup de personnes de penser aux projets de développement de leurs logements. Face aux nombreux confinements que nous avons vécus, les Français se sont rués vers la concrétisation de leur projet. Depuis le début de l'année, les acheteurs se tournent de plus en plus vers les logements qui proposent un véritable confort de vie et un espace de travail.

Grâce à la croissance du nombre d'acheteurs, il y a des villes qui ont la cote par rapport aux autres métropoles. L'achat d'une maison ou d'un appartement est devenu une priorité pour la majorité des Français. Plus de 90 % des Français achètent des logements avec enthousiasme. Les prix commencent à augmenter avec la demande. Pendant ces 12 mois, les villes de France connaissent une augmentation des prix sauf pour l'Île-de-France qui dispose uniquement d'une limite de +1 % et de + 2,5 %. Les demandes de logement deviennent plus importantes. Dues à la crise sanitaire du Covid-19, les maisons avec balcon et jardin sont les plus recherchées. Les acheteurs ont besoin de biens immobiliers qui favorisent le télétravail..

 

Une hausse de prix et un manque de biens

Les prix de l'immobilier touchent un record comme la recherche d'un bien. Concernant les prix, la croissance est de plus de 9 % pour une maison. Les logements individuels atteignent une hausse sur l'ensemble du territoire français. Parmi les villes des records concernant la transaction en France, il y a Toulon, Rennes et Montpellier.

Au sujet des appartements, c'est l'ensemble de la France qui connait une croissance des prix avec + 10 % pour Reims, Rennes + 9,8 % et Orléans à + 10,4 %.

Bien que les prix soient en hausse, cela n'empêche pas les Français de rechercher des logements neufs. La transaction immobilière est concentrée vers les logements neufs. Les biens immobiliers anciens sont encore nombreux à être choisis par les acheteurs. La rénovation des logements anciens favorise aussi l'obtention d'un taux de crédit. Avec la politique du taux zéro et une réduction du taux de crédit, les porteurs de projet se tournent sur la rénovation. La progression des transactions continue jusqu'aux derniers mois de l'année pour offrir une forte croissance du taux d'acquisition.

 

Pour les agents immobiliers, il est capital de suivre les tendances récentes en matière de prix des logements ou des résidences. Lorsque les chiffres rapportés concernent les grandes métropoles ou les villes plébiscitées par les locataires, ils revêtent une importance capitale. Focus sur l'énorme baisse des prix constatée récemment sur le marché immobilier à Paris et dans les grandes métropoles.

 

Une première depuis plusieurs années

Un an et demi après le début de la crise sanitaire, le secteur immobilier Parisien est sous le feu des projecteurs. En effet, pour la première fois depuis la fin 2014, les prix de l'immobilier connaissent une dégradation importante dans la capitale Française. Les chiffres qui confirment cette tendance sont issus du dernier baromètre national des prix de l'immobilier publié par Meilleursagents.

Comme la quasi-totalité des professionnels, les experts de la plateforme estiment que le marché immobilier Parisien a résisté à la crise sanitaire et économique récente. Selon le rapport publié par la plateforme, plus d'un million de ventes ont été réalisées au cours de l'année précédente. En comparaison avec les statistiques des années antérieures, ce chiffre est assez impressionnant. Faut-il le rappeler, l'année 2020 a été particulièrement marquée par 2 séries de confinements. Par ailleurs, les agents immobiliers ont assisté impuissants, à des restrictions portant sur les déplacements, rendant complexes les visites et la signature de l'acte authentique.

 

La dégradation des prix à Paris, des chiffres intéressants

Pour débuter, on relève dans le rapport publié par Meilleursagents, une baisse des prix des logements de 1.50 % sur le dernier trimestre de l'année. Toutefois, sur l'ensemble de cette période, les prix associés aux logements ont connu une baisse globale d'environ 1.80 %. Les notaires du Grand Paris, sur la base des avant-contrats réalisés dans le cadre d'une transaction immobilière, estimaient le prix moyen du m² parisien à environ 1 700€ en février 2021.

Il faut également préciser que cette tendance s'applique à plusieurs catégories de biens immobiliers. Pour preuve, au 1er décembre 2021, les petites surfaces voient leur prix se contracter de 1 % et les grandes de 0,9 %.

 

D'autres grandes villes sont touchées

Le phénomène de la dégradation des prix ne touche pas uniquement la capitale Française. Plusieurs autres grandes villes de l'hexagone sont également mentionnées dans le rapport. Dans les départements de la Petite et de la Grande Couronne, on relève une stabilité par rapport aux récentes statistiques. En effet, dans ces zones, les chiffres communiqués sont respectivement de -0,1% et -0,4% entre novembre 2020 et février 2021. Par ailleurs, certaines villes sont marquées par une progression relativement considérable des prix. Il s'agit notamment de Lille, Strasbourg, Nantes et Rennes.

En revanche, les grandes métropoles comme Lyon qui affichaient une hausse avoisinant ou excédant les 10 % annuels ont connu un remarquable changement. À titre d'exemple, la ville de Bordeaux a connu une baisse de 0.30 % sur les prix de l'immobilier sur l'année.


Que présager pour les mois à venir ?

Si les chiffres communiqués par Meilleursagents étonnent, c'est avant tout parce que Paris nous avait habitués à pousser le curseur loin. Néanmoins, en dépit de la baisse des prix, la situation dans la capitale n'est pas catastrophique. Les tarifs chutent inexorablement, mais le marché immobilier dans sa globalité à Paris est très actif.

Entre le troisième trimestre 2020 et le troisième trimestre 2021, on relève une hausse de plus de 18 % des transactions à Paris.

À la question de savoir si un retour au tarif de 10 000 euros le m² était envisageable, la plateforme apporte une réponse assez claire. En effet, d'après les experts de ce site, Il suffirait d'un nouveau recul des prix de 2,7 % pour repasser sous ce seuil symbolique.


Le prix des biens immobiliers à Paris et dans les communes Françaises : un indicateur capital

Pour les agents immobiliers, les tarifs pratiqués pour les biens immobiliers représentent un indicateur de taille. Les professionnels se basent sur ces estimations pour évaluer la rentabilité d'un projet immobilier et déterminer les prix adéquats, en fonction de la nature du bien. En France comme partout ailleurs, les prix varient d'une commune à une autre, mais aussi, ils fluctuent selon les périodes.

Pour avoir une idée précise des tarifs pratiqués dans chaque commune, il existe des plateformes fiables auxquelles il faudra accéder. Le site monbien.fr s'inscrit dans ce contexte. Grâce à ce portail, vous aurez une idée précise sur les prix par m² par ville, région ou département.

En se basant sur une analyse de plus de 3 millions d'annonces immobilières, le site vous permettra de consulter l'évolution prix immobilier partout en France.

Il faudra simplement accéder à cette section du site, puis sélectionner une ville ou région spécifique pour voir le prix au m² par type de logement. Vous aurez en effet accès aux tarifs pratiqués pour les appartements, les maisons que ce soit à des fins locatives ou de vente.