Tiffany WILLM

Tiffany WILLM

Passionnée par l'immobilier et chargée de communication depuis des années

Si vous êtes agent immobilier, rentrer des mandats est en quelque sorte votre « graal » car sans mandat, vous ne pouvez évidemment pas exercer votre métier.  Pour parvenir à en signer, il est donc nécessaire d’appliquer des méthodes de prospection « à l’ancienne » mais également « nouvelles » car comme vous le savez les techniques de prospection immobilières sont en pleine mutation ! Voici 5 méthodes de prospection pour rentrer des mandats « qualifiés » qui vous feront réaliser des ventes.

Instagram, réseau social en puissance, est devenu un indispensable de votre stratégie marketing ! En 2021, ce sont pas moins de 24 millions d'utilisateurs en France. Comment tirer profit de ce nouveau canal pour promouvoir votre marque et capter des mandats qualifiés ? Découvrez la réponse dans cet article.

Pour des milliers d’agents immobiliers en France, la rentrée c’est maintenant ! Hé oui, les vacances s’achèvent et votre entreprise aussi doit sortir de son silence estival. Alors pour démarrer du bon pied voici un tour d’horizon des quelques conseils et actions à mettre en place pour augmenter votre chiffre d’affaires d’ici à la fin de l’année.

Il faut parfois 5, 10 voire 15 rendez-vous « mandats » différents avant de signer réellement le contrat tant espéré : le mandat exclusif qui vous garantira une belle commission.

Bien souvent, certains prospects vous convoqueront pour se renseigner sur du moyen - long terme. Or pour perdurer sur le marché des professionnels de l’immobilier, vous devez impérativement avoir un portefeuille de biens conséquents à exposer à vos clients. Pour y parvenir, la solution est simple : doubler vos rdv mandats. On vous explique ici comment :

On la promet souvent aux conseillers, on leur vend aussi à grand renfort de promesses sur les réseaux sociaux. La recette miracle pour réussir en Immobilier existe-t-elle? En un sens oui. Nous avons demandé à Stéphane Escobossa, DG du réseau de mandataires spécialistes en immobilier, Dr House Immo son avis sur la question.

"Depuis la création du réseau en 2013, nous avons un turn-over très faible, mais des conseillers ont connu des fortunes diverses. Notre réseau est dédié aux conseillers expérimentés, donc on a relativement peu de surprises, mais il est évident que certains s’essoufflent, d’autres se lassent ou bien ont besoin d’un coup de pouce pour rebondir. Avec toute l’expérience accumulée, on peut dessiner les contours d’un ensemble de pièges à éviter. La lassitude vient souvent d’un manque de nouveauté.

Avec l’arrivée de la formation obligatoire dans le cadre de la loi ALUR, les conseillers ont la possibilité de déployer un éventail assez large de compétences. Le viager, le neuf, les commerces… C’est aussi une solution pour durer sans risquer de s’ennuyer. Notre partenaire, l’organisme de formation Immo Academy propose des solutions pertinentes pour les conseillers en immobilier.

Bien sur, il y a ceux qui ne sont pas fait pour ce métier. Ça peut marcher un temps, mais si on n’aime pas le contact, ou si on n’a pas d’empathie… On ne pourra pas aller longtemps contre nature."

Les 3 clefs pour réussir en tant que conseiller

"C’est un exercice délicat de lister 3 clefs, mais si cela peut en aider certains, je vais essayer de synthétiser l’expérience au sein de Dr House Immo. Je place le travail en premier lieu. Le bon travail paye toujours. C’est une constante quel que soit le domaine, c’est ce que le laboureur de La Fontaine enseignait à ses enfants déjà à l’époque.

Ensuite il faut de la curiosité, un conseiller qui ne veut pas s’intéresser à l’informatique ou bien aux réseaux sociaux se tire une balle dans le pied. On est en 2021, on ne peut pas faire de l’immobilier comme quand j’ai commencé au début des années 2000.

Il faut se former et prendre du plaisir à le faire. Enfin, il faut avoir le sens du partage, et l’esprit d’équipe. Cela peut surprendre dans un univers où les conseillers sont indépendants. Mais l’intercabinet, la collaboration avec le réseau, avec les autres conseillers… C’est essentiel. Nous avons un but qui est de répondre aux attentes de nos clients. Comme le dit souvent notre coach Dominique Piredda : «seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin». C’est aussi un bon moyen de redorer le blason de la profession en donnant l’image d’une corporation orientée vers la satisfaction client."

 

 

Travail, Curiosité et Sens du partage

"L’immobilier est une école d’humilité. On apprend chaque jour, on découvre de nouvelles choses. C’est une des choses qui me plaît le plus dans ce métier. Alors humblement, je livre ces 3 clefs, mais je suis conscient que la recette miracle n’existe pas. On ne fait pas de l’immobilier à Brest comme à Strasbourg ou à Cayenne. C’est pourquoi au sein du réseau Dr House Immo on tente de répondre aux besoins de chacun.

Si vous êtes un professionnel expérimenté, je suis curieux d’avoir votre vision de la chose. Appelons nous pour en discuter !"

 

Entre gain de temps, productivité et sécurité, on vous explique dans cet article comment simplifier le parcours locataire et pourquoi..

Acheter une maison avec piscine est le rêve de beaucoup de Français. Un rêve accessible qui nécessite toutefois la prise de nombreuses garanties. En tant que professionnel de l’immobilier, vous devez impérativement connaître les spécificités liées à ce type de vente ou à ce type de location.

Orpi, 1er réseau immobilier de France*, a mené un sondage auprès de 800 investisseurs particuliers en juin 2021, au sujet de leur projet immobilier en lien avec le logement étudiant. Trois grandes tendances se dégagent : malgré la pandémie, le logement étudiant est toujours perçu comme un investissement sécurisé et les motivations peuvent être d’abord personnelles, de nouveaux profils d’investisseurs primo-accédants font leur entrée sur le marché et les villes moyennes sont privilégiées pour cet investissement.

Les logements étudiants toujours autant plébiscités par les investisseurs

26% des sondés déclarent envisager investir dans un logement étudiant. Pour 62% d’entre eux il s’agit encore d’un investissement rassurant, preuve que la crise n’a pas eu d’effet négatif sur l’image de ce marché.
“Calculer son rendement au plus juste nécessite de prendre en compte tous les paramètres, y compris les imprévus et les temps de vacance du logement. Un an de cours à distance aurait pu impacter les investisseurs et les mettre en difficulté. Finalement, on s’aperçoit que bien conseillés et préparés, les porteurs de projet ont poursuivi leurs investissements, avec la perspective d’un retour en cours dès la rentrée - qui apporte aussi une certaine stabilité à ce marché” analyse Christine Fumagalli, Présidente d’Orpi.

Parmi les motivations des porteurs de projets, 62% considèrent d’ailleurs que ce type de logement aura toujours de la demande.

Un quart des répondants envisagent même d’investir pour un usage personnel, afin d’y loger un étudiant de leur entourage. Un investissement particulièrement intéressant dans certaines zones estudiantines ou le coût du loyer pèse parfois plus dans le budget des familles que le coût d’un crédit, alors que les taux sont encore au plus bas.

Top 5 des villes les plus recherchées en location

  1. Paris
  2. Lyon
  3. Nice
  4. Toulouse
  5. Bordeaux

“Pour ceux qui en ont les ressources, il est parfois plus intéressant de se projeter sur le long terme en comparant le coût total d’un logement en location sur la durée des études de son enfant au prix d’achat du studio. C’est un investissement plus engageant sur le moment, mais sur la durée c’est souvent plus rentable, avec un bien qui peut aussi servir d’apport plus tard, après l’entrée dans la vie active de son étudiant ou de complément de retraite pour les parents” explique Christine Fumagalli.

Autre enseignement : les porteurs de projets suivent les tendances de l’immobilier résidentiel, et les pôles étudiants des villes moyennes tirent leur épingle du jeu. Des localités souvent plus accessibles pour y investir et avec des rendements souvent plus importants qu’en métropole attirent aujourd’hui près d’1 porteur de projet sur 2.
“L’élargissement de la cartographie immobilière et l’engouement pour les villes moyennes a permis aux porteurs de projets de sortir des gros pôles étudiants des métropoles et d’investir avec un budget plus réduit se sentir aussi plus à l’aise par rapport à leur budget. Ces marchés souvent moins onéreux offrent encore de belles opportunités et seront valorisés dans les années à venir.

Ce nouvel engouement pour les villes moyennes permet aussi aux primo-accédants de pouvoir opérer leur premier investissement : parmi les sondés qui envisagent d’investir dans un logement étudiant cette année, 29% sont encore locataires de leur résidence principale.

Des profils qui sont souvent rassurés par l’accompagnement des professionnels de l’immobilier.
Pour renforcer la sécurité de leur investissement, Orpi a développé une solution de Garantie Loyers Impayés parmi les plus abouties du marché avec Garantme. Active dès le premier impayé pour le propriétaire-bailleur et sans condition de ressource pour les candidats locataires, elle permet aux investisseurs de cadrer leur placement et de mieux maîtriser leur rentabilité avec un paiement des loyers à date fixe.”, précise Christine Fumagalli.

* en nombre de points de vente.

Les chiffres sont tombés. On les doit aux notaires dans leur dernière note sur la conjoncture sur la marché immobilier. On le sait, cette corporation, par l'enregistrement des ventes réalisées sur une période donnée, donne les mesures les plus fines en la matière, véritable tempo du marché.

Que disent-ils ? Entre mai 2020 et mai 2021, 1.130.000 ventes ont été enregistrées, soit un plus haut depuis vingt ans ! Ce record est à mettre en parallèle avec les chiffres pour les années 2019 et 2020, comptabilisées de mai en mai : 1.067.000 puis 1.024.000 ventes. Déjà les professionnels du secteur avaient considéré que cela signifiait un vrai dynamisme et on aurait pu s'attendre à une stagnation. Que nenni ! Ces records ont été battus.

Explications :

L'analyse d'un marché, avec les données objectives et subjectives à prendre en considération, n'est pas une science exacte mais l'on peut s'en approcher en prenant en compte les faits « sociétaux » d'une période donnée. Entre le 17 mars et le 11 mai 2020, notre pays a connu un premier confinement, ce qui l'a plongé dans une sorte de sidération. Rester chez soi, contrôle des sorties, incertitude quant à l'avenir... Bref, ceux qui voulaient d'engager dans un projet immobilier ont dû le remiser, sans trop savoir quand ils pourraient le remettre à jour. Et la sortie du confinement a joué comme un effet d'aubaine. Les notaires, dans leur note, ont compris cela mais, selon eux, cela n'explique pas tout ! “Si le nombre de transactions augmente, c’est au profit d’une nouvelle typologie de biens et vers des zones géographiques qui s’éloignent des grandes villes” annoncent-ils, ce qui traduit, certes le dynamisme du secteur, mais aussi sa réorientation...

Migration vers les petites et moyennes villes...

Second effet du confinement donc... On s'en souvient. Bon nombre de Français se sont trouvés coincés dans leur appartement à la ville, enviant ceux qui avaient eu le temps de s'en extraire pour aller dans leurs résidences secondaires, généralement assorties d'un jardin.

Puis il y eut les incitations gouvernementales pour mettre en place le télétravail qui va prendre une place grandissante dans les entreprises.

Et cette réorientation du marché s'est articulée dans les nouvelles pratiques d'achat, boostant l'attractivité des villes moyennes, proches des grandes métropoles. “Certains biens qui répondaient à une demande essentiellement locale trouvent désormais preneur auprès d’un panel plus large d’utilisateurs » détaillent-ils dans leur note, en prenant exemple de deux grosses villes, celles de Lyon où les acquisitions se sont déployées dans des communes de moins de 3500 habitants dans les départements voisins de l'Isère, la Loire et l'Ain et Toulouse, dans les nombreux villages qui jouxtent l'agglomération.

La place de « l'ancien  »

Autre phénomène à prendre en considération pour expliquer le dynamisme du marché de l'immobilier, sans rapport avec la crise sanitaire, c'est le nombre d'acquisitions dans l'immobilier ancien, plus d'un million de transactions réalisées en 2019. On achète, non pas pour changer de logement mais pour le louer. Les responsables des réseaux d'agences immobilières le disent, des volumes exceptionnelles, poussés par l'effet d'aubaine des taux d'intérêt extrêmement bas des prêts immobiliers.

Toujours pour l'année 2019, ces ventes de logements destinés à être loués ont représenté 27% du marché de biens vendus, alors que si on regarde les chiffres en 2010, le pourcentage ne dépassait pas 15% pour un marché global de 600.000 ventes annuelles, une progression calculée par ces professionnels de 200% en dix ans.

A noter aussi que le profil de ces acquéreurs montre qu'ils sont jeunes, moins de quarante ans pour la plupart, souvent primo-accédant et appartenant aux catégories moyennes de la population. Ce redéploiement s'explique. En effet, la plupart sont inquiets des perspectives de leur pouvoir d'achat quand ils seront en retraite et ils cherchent à se constituer une rente locative, quitte à s'endetter.

De plus l'émergence d'un nouveau business en ligne de location saisonnière, facile d'accès pour les touristes et autres locataires pour des séjours de court terme a considérablement favorisé ce mouvement

En attendant 2022..

Croissance exponentielle, stagnation, les chiffres que l'on connaitra l'année prochaine seront riches d'enseignement. En toutes hypothèses, la fin tant espérée de la crise sanitaire, le rebond économique s'il se produit sont des facteurs engageants. Bref un marché en plein dynamisme de toute façon. Qui va s'en plaindre !

Comme tout autre matériau de construction, la durée de vie du béton est également limitée. La désagrégation du béton est donc un phénomène réel que les professionnels de l'immobilier doivent prendre en compte. Cet article vous permettra de mieux comprendre le processus de dégradation des façades en béton.

Quels sont les phénomènes qui entraînent une désagrégation du béton ?

Plusieurs phénomènes peuvent être à la base de la désagrégation du béton. En dépit de sa composition, la solidité du béton est mise à mal par ces phénomènes.

La carbonatation du béton

Le principal phénomène responsable du vieillissement du béton est la carbonatation. Celle-ci est une réaction chimique qui consiste à diffuser du dioxyde de carbone (CO2) sous forme gazeuse à travers les pores du béton. La carbonatation entraîne une modification progressive de la microstructure interne et de la composition chimique du béton. Ce phénomène agit donc sur les produits issus de l'hydratation du ciment. L'ampleur de ce phénomène reste lier à la teneur du CO2 de l'air ainsi qu'aux caractéristiques du béton (la nature et le dosage du ciment, le dosage en eau, la teneur en hydrates carbonatables et bien d'autres). À partir de 50 ans, l'ouvrage entre dans sa phase de fin de vie. La carbonatation a un impact significatif sur la durée de vie de la structure en béton, notamment sur sa résistance. Elle entraîne en effet son instabilité avec une mise à nu des armatures en acier. Un béton carbonaté présente des signes de destruction, dont les éclatements du béton, les épaufrures ou autres. Ce phénomène peut même entraîner l'effondrement de l'ouvrage.

La porosité du béton

Le béton est fait de vides et de pores. Ces derniers influencent aussi sa durabilité et sa résistance. L'ouvrage est exposé à des aléas du temps en cas de faible densité. Il devient donc poreux et entame un processus de dégradation. La porosité du béton peut être accélérée par des agressions bactériologiques et chimiques.

Les ruptures des fers sous l'effet de la chaleur

En cas d'incendie, la température peut atteindre les 1000 °C en surface de la structure. Une dalle en béton offre une forte résistance au feu. Le béton est en effet incombustible et inflammable. Il faudra exposer les armures d'une dalle en béton (de 3,5 cm d'enrobage) au feu pendant une durée de 2 heures avant de les voir atteindre leur température critique qui est estimée à 500 °C. Les éléments du béton les plus exposés en cas d'incendie restent les fers. Ces derniers peuvent en effet se fondre. Lorsque les aciers se rompent, le béton devient fragile avec un risque d'effondrement. Il faut préciser que la composition du matériau et sa microstructure a également une influence sur sa capacité de résistance à la chaleur. Après un incendie, vous devez évaluer l'impact du feu sur les matériaux afin de déterminer leur degré de dégradation.

Quels sont les différents types de dégradations du béton ?

Malgré qu'il soit considéré comme un excellent matériau de construction, le béton peut avec le temps se dégrader. On distingue trois principaux types de dégradations.

La dégradation d'ordre mécanique : elle survient à la suite de vibration, d'affaiblissement géotechnique, de chocs, d'abrasion, des tassements de sol, les explosions ou autres. La dégradation d'ordre mécanique se traduit par l'apparition d'éclats et de fissures. Il faudrait donc les repérer pour les réparer ;

La dégradation d'ordre chimique : elle peut être due à une inadéquation de la composition du matériau ou à une exposition du béton aux environnements qui sont chimiquement ou biologiquement agressifs. Il s'agit par exemple des sels de déneigement, de la carbonatation, de l'industrie, de l'épuration des eaux, des agents corrosifs et bien d'autres. Un béton acidifié entraîne une corrosion des armatures ;

Les dégradations physiques : elles sont relatives à l'ensemble des causes qui sont susceptibles de provoquer l'éclatement du béton. Il s'agit par exemple de l'érosion, de l'usure, de l'exposition à des cycles de gel-dégel, de la cristallisation saline, des phénomènes thermiques ou autres. Les réparations inappropriées peuvent aussi entraîner la dégradation du béton.

Il est donc essentiel d'analyser l'ouvrage afin de distinguer des parties dégradées des parties saines. Il faudrait aussi bien comprendre la structure pour être en mesure d'identifier ses points faibles et ses points forts. Cela vous permettra de mettre en place toutes les mesures de sécurité appropriées en cas de risques d'affaissement afin de protéger les usagers.

Quels sont les outils d'analyse de l'état des bétons ?

Il existe plusieurs outils que vous pouvez utiliser pour évaluer le niveau de dégradation du béton.

Le millivoltmètre : il permet de déterminer le degré de corrosion des armatures. Cette technique est axée sur le balayage potentiométrique ;

Le scléromètre : il permet de caractériser la dureté de la surface du béton ;

Le Ferroscan : cet outil favorise l'accès aux informations relatives à l'enrobage des armatures et permet d'estimer le diamètre de ces dernières grâce à un balayage pachométrique ;

Le fissuromètre : les capteurs de cet outil vous permettent de suivre l'avancement de la fissuration.

En plus de l'évaluation de l'état du béton, vous devez aussi faire des prélèvements par carottage. Cette étape est délicate dans le processus du diagnostic du matériau. Le type et le nombre d'échantillons sont déterminés sur la base des informations recueillies après inspection du site et du type d'analyse réalisée au laboratoire. Le carottage se fait souvent au niveau des espaces dépourvus d'armature repérés grâce au balayage pachométrique. Les prélèvements sont soumis à des analyses de laboratoire et viennent compléter les essais effectués sur le site. À partir des échantillons, on mesure la profondeur de la carbonatation grâce à un indicateur de pH. On parle de phénolphtaléine ou d'alizarine en fonction du changement de coloration.