Orpi, 1er réseau immobilier de France*, a mené un sondage auprès de 800 investisseurs particuliers en juin 2021, au sujet de leur projet immobilier en lien avec le logement étudiant. Trois grandes tendances se dégagent : malgré la pandémie, le logement étudiant est toujours perçu comme un investissement sécurisé et les motivations peuvent être d’abord personnelles, de nouveaux profils d’investisseurs primo-accédants font leur entrée sur le marché et les villes moyennes sont privilégiées pour cet investissement.
Les logements étudiants toujours autant plébiscités par les investisseurs
26% des sondés déclarent envisager investir dans un logement étudiant. Pour 62% d’entre eux il s’agit encore d’un investissement rassurant, preuve que la crise n’a pas eu d’effet négatif sur l’image de ce marché.
“Calculer son rendement au plus juste nécessite de prendre en compte tous les paramètres, y compris les imprévus et les temps de vacance du logement. Un an de cours à distance aurait pu impacter les investisseurs et les mettre en difficulté. Finalement, on s’aperçoit que bien conseillés et préparés, les porteurs de projet ont poursuivi leurs investissements, avec la perspective d’un retour en cours dès la rentrée - qui apporte aussi une certaine stabilité à ce marché” analyse Christine Fumagalli, Présidente d’Orpi.
Parmi les motivations des porteurs de projets, 62% considèrent d’ailleurs que ce type de logement aura toujours de la demande.
Un quart des répondants envisagent même d’investir pour un usage personnel, afin d’y loger un étudiant de leur entourage. Un investissement particulièrement intéressant dans certaines zones estudiantines ou le coût du loyer pèse parfois plus dans le budget des familles que le coût d’un crédit, alors que les taux sont encore au plus bas.
Top 5 des villes les plus recherchées en location
- Paris
- Lyon
- Nice
- Toulouse
- Bordeaux
“Pour ceux qui en ont les ressources, il est parfois plus intéressant de se projeter sur le long terme en comparant le coût total d’un logement en location sur la durée des études de son enfant au prix d’achat du studio. C’est un investissement plus engageant sur le moment, mais sur la durée c’est souvent plus rentable, avec un bien qui peut aussi servir d’apport plus tard, après l’entrée dans la vie active de son étudiant ou de complément de retraite pour les parents” explique Christine Fumagalli.
Autre enseignement : les porteurs de projets suivent les tendances de l’immobilier résidentiel, et les pôles étudiants des villes moyennes tirent leur épingle du jeu. Des localités souvent plus accessibles pour y investir et avec des rendements souvent plus importants qu’en métropole attirent aujourd’hui près d’1 porteur de projet sur 2.
“L’élargissement de la cartographie immobilière et l’engouement pour les villes moyennes a permis aux porteurs de projets de sortir des gros pôles étudiants des métropoles et d’investir avec un budget plus réduit se sentir aussi plus à l’aise par rapport à leur budget. Ces marchés souvent moins onéreux offrent encore de belles opportunités et seront valorisés dans les années à venir.
Ce nouvel engouement pour les villes moyennes permet aussi aux primo-accédants de pouvoir opérer leur premier investissement : parmi les sondés qui envisagent d’investir dans un logement étudiant cette année, 29% sont encore locataires de leur résidence principale.
Des profils qui sont souvent rassurés par l’accompagnement des professionnels de l’immobilier.
“Pour renforcer la sécurité de leur investissement, Orpi a développé une solution de Garantie Loyers Impayés parmi les plus abouties du marché avec Garantme. Active dès le premier impayé pour le propriétaire-bailleur et sans condition de ressource pour les candidats locataires, elle permet aux investisseurs de cadrer leur placement et de mieux maîtriser leur rentabilité avec un paiement des loyers à date fixe.”, précise Christine Fumagalli.
* en nombre de points de vente.