Tiffany WILLM

Tiffany WILLM

Passionnée par l'immobilier et chargée de communication depuis des années

Comment rentrer des mandats exclusifs ? Voilà une question que vous vous êtes forcément déjà posée un jour ! Pour les professionnels de l’immobilier le mandat exclusif est un graal, le graal des mandats permettant de s’assurer une rémunération grâce à une parfaite maîtrise du bien. Comment en rentrer grâce à la Pige ? C’est ce que vous explique Anthony Richert, conseiller marketing expert chez Pige Online, logiciel de pige n°1 en France en termes de rapport qualité / prix. 

Dans certaines agences, numériser un document peut encore être un véritable chemin de croix au détriment de la productivité de leurs agents.

Si vous êtes professionnel de l’immobilier, vous avez très certainement déjà connu des bugs de photocopieuses…quelle perte de temps n’est-ce pas ? !  Démarrer son PC, allumer la photocopieuse, lancer le bon logiciel d’impression, choisir le bon format de sortie, la résolution adéquate..vous l’avez certainement déjà vécu..

Comment les prix de l'immobilier vont-ils évoluer en 2022 ? Peut-on trouver un équilibre entre une offre de logements relativement rare et une demande qui reste très forte ? Quels sont les enjeux de la rénovation énergétique des bâtiments ? La question du logement abordable est-elle définitivement impossible à résoudre ?  

Les profondes mutations observées sur le marché immobilier français ont modifié les équilibres économiques du secteur et bouleversé les agissements des acteurs. Pour avoir une lecture objective du marché immobilier basée sur des données et des analyses factuelles, Wüest Partner publie l'Immo-Monitoring 2022.

Au sommaire : réglementation de l'immobilier, situation économique actuelle, tendances du marché des transactions et des prix, questions des logements abordables, rénovation énergétique et aperçu des villes intelligentes en Europe. 

 

Climat économique 

L'économie française a connu ces deux dernières années des soubresauts inédits, principalement dus à la pandémie de COVID-19. En apportant à cette crise des réponses originales [télétravail, délocalisation], les acteurs économiques ont redessiné le paysage socio-économique de la France et ces changements se reflètent aujourd'hui dans le secteur immobilier en pleine mutation. 

Ces derniers mois, les indicateurs économiques ont évolué dans le bon sens : chômage en baisse, épargne des ménages au plus haut et pouvoir d’achat des Français en légère augmentation. Si le soutien de l’Etat [plan de relance, projet de loi de finances 2022] a conforté la prévision de croissance annoncée à +3,7%, l’inflation des prix se précise néanmoins et les tensions géopolitiques et leur impact sur l’approvisionnement des matières premières et des énergies déstabilisent certains secteurs, dont celui de la construction. Les prévisions économiques pourraient évoluer selon la durée et l’ampleur du conflit ukrainien. Mais l’immobilier est souvent une valeur refuge en temps de crise. 

 

Un paysage transformé 

Le secteur immobilier a connu en 2021 une explosion du nombre de transactions immobilières, des prix de vente record et des prêts à taux plancher. Car, en réaction aux confinements successifs, le désir d’espace incite désormais de nombreuses personnes à changer de lieu de résidence, ce qui accroît la demande de logements et constitue la cause probable de la hausse générale des prix de l'immobilier. 

D’autres facteurs impactent le secteur immobilier : un nouveau diagnostic DPE qui risque de déclasser certains logements énergivores et l’obligation pour toute nouvelle construction d’appliquer la norme RE 2020 qui augmente le prix de revient. Heureusement, les aides à la rénovation sont maintenues. 

 

Crise du logement 

Malgré toutes les politiques publiques de soutien mises en œuvre, les aides à la pierre, loi ALUR, loi SRU, APL, PTZ, loi Pinel…de nombreux ménages ont toujours du mal à se loger.

En cause, la pénurie de logements - on en construit trop peu et pas assez vite - et des coûts souvent élevés font que la part des dépenses des ménages, locataires ou propriétaires consacrée au logement (taux d'effort) ne cesse d'augmenter. 

Et comment construire plus et mieux tout en consommant moins de foncier ? Voilà un nouveau défi pour une autre politique du logement en France : construire des logements sociaux, réglementer les baux, encourager la mixité, aider les foyers les plus modestes, inciter fiscalement les propriétaires afin de « louer abordable ». Autant de solutions complexes qui mettent en jeu des aspects réglementaires et des impératifs économiques et sociaux parfois contradictoires. 

 

Empreinte carbone 

En France, les bâtiments émettent 20% des gaz à effet de serre et représentent 50% de la consommation énergétique du pays. Face au problème du réchauffement climatique, l’objectif est donc de réduire sensiblement l’empreinte carbone des logements en rénovant le patrimoine bâti. Ainsi, le dispositif « Climat et Résilience » mis en place en 2021 comporte des mesures fiscales incitatives [TVA réduite à 5,5%] pour effectuer des travaux d’isolation thermique et d’économie d'énergie. 

Par ailleurs, un effort important doit porter sur les logements énergivores qui représentent 17% du parc immobilier français [7,5 millions d’habitations]. Les mesures drastiques de la loi Climat incitent les propriétaires de ces logements à agir car, à défaut, les loyers seront bloqués et il ne sera plus possible de louer [DPE en classe G à partir de 2025, en classe F en 2028]. Le dispositif « France Rénov’ » continue à apporter des aides financières intéressantes. 

 

L’Immo-Monitoring France 2022 de Wüest Partner est téléchargeable depuis ce lien : cliquez ici

Les agences de courtage en immobilier ont publié leur communiqué de mars et sans surprise, les taux continuent leur remontée fulgurante.

En tant qu’agents immobiliers, vous devez être en mesure de suivre cette hausse des taux immobiliers qui peut impacter vos clients acquéreurs.

Au mois de février, les taux augmentaient déjà légèrement avec une hausse de 10 à 15 centimes pour les taux moyens avec une estimation à 1 % sur 15 ans, 1,12 % sur 20 ans et 1,28 % sur 25 ans. Dans le contexte inflationniste actuel, le taux des OAT (Obligations Assimilables du Trésor) était déjà au mois de février en hausse.

Selon Henry Buzy-Cazaux, le président de l’Institut du Management des Services Immobiliers, la guerre en Ukraine pourrait entraîner des répercussions sur les prix de l’immobilier ainsi que sur la fiscalité.

 

La hausse des taux immobiliers va-t-elle durer ?

Pour ce mois de mars 2022, les barèmes continuent leur progression par rapport au mois de février : 0,55 % sur 10 ans, 0,70 % sur 15, 0,80 % sur 20 ans et 1,05 % sur 25 ans.

Même si cette croissance se poursuit, ils restent bien en dessous de l’inflation et continuent de permettre aux acquéreurs une accession facile à la propriété.

Alban Lacondamine, président fondateur d’Emprunt Direct, souligne dans son communiqué de presse de mars 2022 que « Le contexte inflationniste fait désormais nettement évoluer le guidage des anticipations des banques centrales. Les indices des prix à la consommation en Europe et aux États-Unis, plus que jamais haussiers, vont continuer à s’affirmer, ce qui tend à accréditer la fin des politiques ultra-accommodantes des institutions monétaires et un rebond des taux directeurs. Sur le marché du crédit immobilier, une poursuite graduelle des hausses peut ainsi être anticipée ».

 

Quelles conséquences pour les demandes de prêt ?

La remontée des taux ne montre aucune raison de s’affoler du côté des emprunteurs au sujet du financement de leur projet immobilier.

Selon Olivier Lendrevie, président de CAFPI, « cette faible remontée des taux pourrait néanmoins permettre une normalisation du marché immobilier. Après une année 2021 qui a été exceptionnelle en matière de transactions immobilières : 1 178 000 transactions sur toute la France, avec 182 000 transactions en Île-de-France (+12 % par rapport à 2020) et 996 000 transactions en région (+16 % par rapport à 2020). »

Mais sur le plan bancaire avec l’obligation de l’application des nombres du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), les conditions de crédit semblent plus encadrées. La cause ? Après le record de transactions effectuées pendant l’année 2021, le nombre de crédits a augmenté parallèlement au nombre de ventes, ce qui a accentué l’endettement des Français. Et c'est cet endettement qui peut pousser la HCSF à durcir ses critères.

En matière de chiffres, plus de 6 crédits immobiliers sur 10 se font sur 20 ans, contre 3 crédits sur 10 en 2017.

Pour Abdelkader Diarra, directeur commercial chez Empruntis, « l’observatoire estime que la hausse serait de l’ordre de 20 à 25 points de base maximum en 2022. Autrement dit, les taux retrouveraient leur niveau d’avant crise autour de 1,25 % ou 1,30 %. Et la hausse est déjà entamée depuis début février. Les barèmes bancaires transmis par nos partenaires révèlent déjà une hausse de 15 centimes environ. Mais ces augmentations n’ont que très peu d’impact sur la mensualité. Exemple sur un crédit immobilier de 200 000 € sur 20 ans : la hausse sur la mensualité s’élève à 9 € et sur le coût total à 2 148 € (hors assurance). »

Professionnels de l’immobilier, vous pouvez rassurer vos clients acquéreurs, même si les taux historiquement bas remontent, cela n’aura qu’un faible impact sur leurs demandes de prêts ainsi.

Le 8 février, l'Association des responsables de copropriété (ARC) a publié un communiqué qui n'est pas passé inaperçu. Dans ce pamphlet, les logeurs affirmaient que les agents immobiliers avaient désormais recours à de faux pré-états datés pour faire gonfler leurs factures. Une accusation que Jean-Marc Torrollion, Président de la Fédération nationale de l'immobilier (FNAIM), a vivement contesté.

 

Pourquoi l'état daté fait-il autant jaser ?

En tant que professionnel de l'immobilier, il y a un document sans lequel vous ne pouvez pas conclure une vente en copropriété. Vous l'aurez compris : il s'agit de l'état daté. Institutionnalisé par l'article 5 du décret 1967, l'état daté doit être remis au futur copropriétaire avant la signature de l'acte de vente. Dans ce document, ce dernier trouvera toutes les informations relatives aux finances des actuels propriétaires. Obligatoire, son dépôt se fait chez le notaire avant la remise des clés.

Le 1er juin 2020, un second décret a fixé le prix maximal de l'état daté à 380 €. Sauf que, selon l'ARC, le prix plafonné de l'état daté est volontairement dépassé par les syndicats immobiliers.

Pour défendre leurs positions, les responsables de l’ARC s'appuient sur une étude menée par la Direction générale de la concurrence de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). Selon l'enquête susmentionnée, dans les faits, la délivrance de l'état serait facturée à environ 400 €, soit 5 % de plus que le tarif maximal.

 

Les premières victimes de l'inflation

Pour atténuer les effets de l’inflation, les syndicats de professionnels immobiliers n'ont eu d'autre choix que de réduire leurs tarifs personnels. Une décision qui ne semble pas prendre en compte l'ARC.

Pour Jean-Marc Torrollion, il est parfaitement normal que les agents immobiliers soient rémunérés pour l'établissement des états datés. En effet, selon la législation en vigueur, ils n'ont aucune obligation légale de le faire.

En foi de quoi, l'ARC ne saurait exiger d'eux qu'ils emploient des ressources sans aucunes compensations financières. Plus encore au vu de la quantité de travail à abattre.

 

Un état daté de plus en plus dense

Selon l’article 5 du décret n° 67-223 du 17 mars 1967, l'état daté n'inclut que trois parties financières, lesquelles sont réparties sur un maximum de 5 pages. Néanmoins, sur le terrain, la réalité est tout autre.

Avant de devenir copropriétaire d'un logement, le futur acquéreur a besoin d'être rassuré. De même, les résidents actuels préfèrent coucher sur papier toutes les clauses de la cohabitation. Assurances protégeant l'immeuble, emprunts en cours, contrats régissant les interactions entre les habitations, ... L'état daté est désormais un rapport décrivant avec moult détails la situation d'un bien immobilier.

Forcément, cela se ressent sur l'épaisseur du document.

Au lieu de cinq pages, les agents immobiliers rédigent en moyenne 13 pages.

Pire encore : en plus de cet état daté, c'est souvent sur les frêles épaules de ce professionnel que repose la production du dossier technique et environnemental.

 

Un pré-état daté juridiquement inexistant mais exigé par les acheteurs

Au sens strict, la notion de pré-état daté n'existe pas. Seul l'état daté a une valeur légale. Toutefois, comment attendre de l'acheteur qu'il signe un contrat le jour J s'il ne l'a pas au préalable consulté ? En tant que professionnel immobilier, vous n'avez que trop conscience de ce dilemme.

Afin que la transaction soit finalisée, les deux parties doivent avoir une connaissance des engagements qu'ils sont sur le point de prendre. C'est une directive qui a d’ailleurs été consolidée par la loi L721-2 du Code de la Construction et de l’Habitation.

En s'en tenant à la réglementation en vigueur, il ressort que techniquement, c'est aux vendeurs d'établir l'état pré-daté. Or, étant donné que ces derniers ne possèdent pas les compétences suffisantes pour accomplir cette mission, ils préfèrent laisser les agents immobiliers s'en charger. Pour Jean-Marc Torrollion, c'est de la sous-traitance, une prestation qui se doit d’être rémunérée.

Il est incongru de se baser uniquement sur le chiffre avancé par la DGCCRF pour indexer les agents immobiliers.

Ces derniers sont loin d'être les premiers bénéficiaires du capharnaüm juridique entourant l'état daté. Allant au-delà de leurs habilitations, ils ont à cœur de tenir la promesse faite aux clients : acheter en toute sécurité. Et cette garantie a un coût.

Aujourd’hui la concurrence est rude dans le secteur immobilier. En tant que professionnel, vous devez savoir faire la différence pour séduire les vendeurs immobiliers. Et c’est justement ce que vous propose la nouvelle application juridique Sinimo qui conquiert chaque mois 50 à 80 nouvelles agences immobilières en France. Zoom sur cet outil innovant qui booster l’efficacité des professionnels de l’immobilier. 

Trouver le bon timing pour une première prise de contact peut conditionner votre rentrée de mandat. Si vous êtes agent immobilier, vous vous demandez peut être quel est le moment idéal pour approcher vos prospects ? En effet face aux multiples sollicitations auxquelles les propriétaires immobiliers font face, une approche au bon moment peut faire toute la différence ! 

Elle était attendue par toute une profession, les conseillers immobiliers, mais aussi par extension par tous ceux qui exercent un métier de façon indépendante. De quoi s'agit-il ? De la réforme des activités professionnelles indépendantes, et cela concerne plusieurs millions de personnes !

L'objectif désigné par les législateurs est clair, donner aux intéressés une meilleure sécurisation juridique, fiscale et sociale. Publiée au Journal Officiel le 15 février, cette nouvelle loi a connu plus d'un an de travail législatif, avec des allers-retours entre l'assemblée nationale et le sénat, et une vraie unanimité entre parlementaires, conscients de sa nécessité. Faisons le tour de ces nouvelles dispositions.

Une nouvelle disposition protectrice.

Concrètement, cela va concerner à ce jour 3,3 millions d’indépendants.

Il est prévu la création d’un nouveau statut unique d’entrepreneur individuel avec une meilleure protection de leur patrimoine. C'est pourquoi est supprimé le statut d’entrepreneur individuel à responsabilité limitée (EIRL) mais en préservant ses principaux atouts.

Ainsi, le patrimoine des entrepreneurs individuels est insaisissable, par défaut, par leurs créanciers éventuels liés à leur activité professionnelle. Pour préciser, l'assiette des biens pouvant faire l'objet de saisies en cas de défaillance par des créanciers est strictement limitée à ceux utilisés dans le cadre des activités professionnelles, soit, par exemple, les équipements informatiques, les véhicules, etc., ainsi un bien immobilier qui ne concerne pas une activité professionnelle sera protégé.

La nouvelle loi pose le principe d'une séparation stricte des biens de nature professionnelle et des biens personnels, sans aucune démarche administrative ou juridique particulière à effectuer. Il faut préciser que ces nouvelles dispositions s'appliquent à toutes les créations d’entreprises datant de trois mois après la promulgation de la loi, pour celles créées antérieurement, elles s'appliqueront uniquement aux nouvelles créances.

Une sécurisation en cas de cessation d’activité.

L'un des sujets de préoccupation des professionnels indépendants était les conséquences d'un arrêt d'activité si celle-ci n'était pas viable.

Une nouvelle disposition leur permettra d'accéder à l’allocation travailleurs indépendants (ATI) afin de leur permettre un rebond professionnel.

Selon les calculs, ce seront 30.000 professionnels indépendants qui pourront en bénéficier alors qu'une dernière quantification donnait un chiffre de 1000. Il faut préciser que cette allocation d'un montant mensuel de 800 euros a été créée en 2018 pour les indépendants ayant déclaré une faillite avec un redressement ou une liquidation judiciaire.

Ainsi les indépendants confrontés à un arrêt obligé de leur activité pourront automatiquement en bénéficier sauf si leurs revenus des deux dernières années montraient un revenu mensuel inférieur à ce montant, sans être inférieur à un niveau qui sera fixé par décret.

Dernière chose : des dettes sociales, les cotisations et contributions sociales des dirigeants majoritaires de sociétés à responsabilité limitée (SARL) pourront être annulées dans le cadre d’une procédure de surendettement des particuliers.

 

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Les professionnels de l’immobilier sont-ils résignés à perdre des mandats ?

Le Syndicat National des Professionnels de l’Immobilier et la Fédération nationale de l’immobilier sont parvenus à un accord pour la distribution, à leurs adhérents, du caducée VESTA*.

Dans un communiqué commun en date du 22 février 2022, les deux syndicats ont déclaré :« La FNAIM et le SNPI considèrent, dans l’intérêt exclusif des professionnels de l’immobilier, que ce symbole peut et doit s’ajouter à la réglementation issue de la loi HOGUET n°70-9 du 2 janvier 1970 et de la loi ELAN n°2018-1021 du 23 novembre 2018, comme l’insigne de la qualité de professionnel de l’immobilier, titulaire d’une carte professionnelle. »

Les deux syndicats unissent donc leurs forces afin que VESTA devienne le symbole de qualité professionnelle de tous les titulaires d’une carte professionnelle, à l’instar des agents immobiliers ou des administrateurs de biens et des syndics.

Ainsi, d’un seul coup d’œil, ce caducée aisément identifiable donnera la garantie d’avoir affaire à un professionnel de l’immobilier.

Il sera désormais possible, et même souhaitable, que chaque professionnel voulant obtenir de la visibilité et transmettre des garanties de professionnalisme et de probité à ses clients, fasse apparaître l’insigne de VESTA sur ses documents, sites internet, réseaux sociaux, plaques, enseignes, etc.

Les adhérents de ces deux syndicats, titulaires d’une carte professionnelle de l’immobilier, pourront, dorénavant, se procurer l’insigne VESTA auprès de leur organisation. C’est une démarche importante qui permettra enfin de donner de la visibilité à notre profession et une garantie de sérieux à une clientèle et des partenaires parfois méfiants ou, à juste titre, désorientés et indécis face à une offre importante et mouvante. Désormais, il sera aisé pour tout un chacun d’identifier le professionnalisme et le caractère réglementé de son interlocuteur grâce à la présence ou non de ce badge.

Il est donc dans l’intérêt de chaque acteur du secteur immobilier d’entamer, dès maintenant, les démarches auprès de son syndicat afin d’obtenir au plus vite le précieux sésame.

*Pour rappel, VESTA était la déesse de la maison, de la famille et du foyer chez les romains.

 

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Les professionnels de l’immobilier sont-ils résignés à perdre des mandats ?

La génération Z désigne une génération pleine de vitalité, accro aux réseaux sociaux et aux nouvelles technologies. En tant qu'agent immobilier vous devez impérativement connaître les codes de communication liés à cette génération avant de leur proposer une offre ! Pour la diffusion d’un spot publicitaire, une courte vidéo de 15 secondes suffit pour les épater. Comment courtiser cette jeune génération âgée de 18 à 24 ans environ ? On vous explique tout ce que vous devez savoir dans cet article. 

Épater la jeune génération Z par quelles méthodes ?

La première fois qu’on approche la génération Z, il faut utiliser un langage de communication dynamique, sympathique, qui emprunte le style de nos voisins anglais. Il est possible d’utiliser un ton familier, similaire à leur langage quotidien !

Les portes-paroles traditionnels ne fonctionnent pas avec cette génération. Préférez une icône que tous les jeunes apprécieront ! Cette génération apprécient les agents immobiliers qui lui ressemble et partage une culture similaire. Misez sur l'éthique, les problèmes contemporains qui touchent la majorité des jeunes sans enfreindre les codes comme la discrimination.

La génération Z apprécient le contact humain, l'écoute active et les personnes pro-active qui savent prendre les bonnes décisions en s'adaptants aux contraintes du marché.

Pour représenter votre agence il faudra donc un self-made-man ou une self-made-woman, charismatique et ayant une vrai influence.

 

Comment leur parler de projet immobilier ?

La génération Z est surtout attirée par le défi, le plaisir et l’argent.

Si vous voulez proposer une offre, vous pouvez parler directement de valeurs immobilières, de statistiques des ventes pendant une période, des projections financières après l’acquisition d’un immeuble. Evitez le blabla et soyez pragmatique !

Soyez clair et précis, en exposant suffisamment l’information demandée, sur la façon de faire fructifier son placement. Quelle serait la rentabilité d’un bien mis en location, l’emplacement type qui génère plus de revenus. Vous pouvez aussi leur proposer des investissements immobiliers dans le but d’avoir une indépendance financière, des possibilités de placements dans l’épargne, etc. Pour la forme, ne soyez pas trop exigeant, mais misez plutôt sur les figures divertissantes, innovantes, avec des nouveautés.

Vous devez exposer brièvement quelle qualité de vie et de plaisir ils cherchent pour les motiver à s’investir dans l’immobilier. Vous pouvez leur parler de sommes d’argent sans contraintes. En revanche, ils n’aiment pas le discours, et si possible, vous pouvez ajouter quelques vidéos de quelques secondes pour toucher le plus grand nombre. Ensuite, s’ils sont toujours intéressés, vous pouvez continuer sur des vidéos plus détaillées, présentant cette fois les étapes essentielles de l’acquisition d’un bien. Cela peut les aider à avancer à leur rythme.

Une approche sous forme d’entraide

Pour les jeunes, les achats groupés, collaboratifs sont mis en avant, surtout pour les investissements coûteux.

Ces derniers ont un réel besoin d'appartenance. N'hésitez pas à inventer des groupes sur les réseaux sociaux auxquels ils pourraient appartenir, inventer une idée, une quête qui leur tiennent à cœur et les poussent à participer. Le mode participatif est à l'honneur.

La génération Z apprécient  les échanges de groupe, les discussions sur les réseaux sociaux, les débats, les séances de questions réponses, auxquelles ils peuvent participer. Cette génération a besoin de se sentir soutenue, n'hésitez pas à pratiquer l'écoute active !

Il faut toujours répondre à leur besoin et donner de l'importance à leur projet. Dans le cas d’une conférence ou la proposition d’une offre sur les réseaux, il faut leur répondre le plus clairement possible ce qui peut parfois être energivore, mais cette génération est votre avenir ! A vous de savoir la courtiser..

 

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